700 films en accès libre sur la diversité culturelle du monde

cibretagne et diversité, c’est :

700 films en accès libre (dont 350 en intégralité), 13 peuples (autochtones, métissés, sans état, en lutte), 10 thématiques, 39 éditions du Festival de Cinéma de Douarnenez et 70 réalisateurs interviewés !
à découvrir, à voir, à lire, à arpenter sans modération !00 filmds

Un projet généreux, pour voir et revoir gratuitement des films emblématiques de la diversité culturelle dans le monde, des documentaires sur les peuples minoritaires, des interviews de réalisateurs engagés et passionnés.
Un outil pédagogique, pour rassembler des ressources, et les re-partager. En accès libre. Bilingue breton. Et sans cesse alimenté, tout au long de l’année, par les salariées de Rhizomes, Caroline et Nina.

Des exemples ?

Une entrée sur le peuple kurde, mais aussi sur le monde des Papous, des Aborigènes, des Rroms, des Amérindiens ou des Berbères.
Avec chaque fois, pour contextualiser les images, une carte, la contribution d’un universitaire sur le sujet et un focus sur le cinéma.
Une recherche par thème, pour naviguer de la musique à la langue, des femmes aux migrations.

Pour travailler l’histoire, la géographie, la littérature, les arts et les langues …
Un site-ressource, un outil pour les étudiants autant que pour leurs professeurs, pour les chercheurs ou les curieux à explorer sans modération !

http://bretagne-et-diversite.net/fr/




Le périple d’une famille syrienne réfugiée en Europe

cp1a92lweaa8jrx« Ce matin, nous vous proposons de suivre le périple d’une famille syrienne qui a fui la Syrie clandestinement pour l’Europe, via la Turquie, en vue d’un « Interception », sur France Inter.

Un voyage de 3.000 kilomètres dangereux et épuisant pour un couple d’ingénieurs de 35 ans et leurs deux enfants originaires de la ville d’Idleb , au nord-ouest de la Syrie.

Un voyage qu’a suivi pendant près douze jours, à partir de fin septembre, notre correspondant au Liban, Omar Ouahmane. De la Syrie à la Suède, en passant par la Grèce, la Macédoine, la Serbie, la Croatie, la Hongrie, l’Autriche et l’Allemagne. Avec la très périlleuse traversée de nuit de la mer Égée. »

 

Plus d’infos sur : http://www.franceculture.fr/emissions/le-choix-de-la-redaction/le-periple-d-une-famille-syrienne-refugiee-en-europe

Les photos et commentaires tout le long du périple :

 




le portail School Education Gateway

image_galleryExtrait du site « L’éducation ne connaît pas de frontières et offre la clé du succès dans tous les groupes sociaux. Les richesses de l’Europe en matière de connaissances et d’expériences sur l’enseignement sont énormes, mais les barrières de langues peuvent compliquer l’accès à l’information et aux ressources pour enseignants et les éducateurs.

Présenté en 23 langues européennes, le portail School Education Gateway est un guichet unique pour les enseignants, les établissements scolaires, les experts et d’autres professionnels du domaine de l’enseignement à l’école. Il présente les politiques éducatives européennes, des actualités, des articles rédigés par des experts, des initiatives nationales, des actions pour les écoles, des domaines d’interaction, des pratiques d’excellence de projets éducatifs et d’autres ressources.
Nous invitons les enseignants et les experts à apporter leur pierre à l’édifice commun en discutant des contenus et en intervenant dans les communautés qui composent le School Education Gateway.

Le School Education Gateway est financé par Erasmus+, le programme européen pour l’Éducation, la Formation, la Jeunesse et les Sports. Il est mis en œuvre pour le Directorat général de l’Éducation et de la Culture de la Commission européenne par European Schoolnet, un partenariat européen de 31 ministères de l’Éducation qui développent l’apprentissage pour les établissements scolaires, les enseignants et les élèves dans toute l’Europe. Le School Education Gateway est lié à eTwinning, la communauté pour établissements scolaires d’Europe.

Comment utiliser le School Education Gateway

Le contenu du site (actualités, bonnes pratiques, articles d’experts, liens vers les politiques, etc.) sont indexés sous différents sujets, ce que vous aide à trouver les contenus correspondant à ce qui vous intéresse. Les sujets comportent aussi des lien vers les priorités pour l’école de la Commission européenne .

  • Évaluation
  • Compétences (dont aptitudes de base; maîtrise de la lecture ; maîtrise du calcul ; compétences numériques)
  • Programmes scolaires (dont réforme, développement; disciplines différentes)
  • Éducation pour la petite enfance
  • Éducation inclusive (dont besoins spéciaux ; aide aux apprenants ; désadvantage; décrochage scolaire ; comportement ; assiduité ; diversité, migrants)
  • Internationalisation
  • Gestion (y compris leadership; administration ; autonomie ; organisation ; financement ; choix des parents ; assurance qualité ; inspection)
  • Politiques et stratégie (dont comparaison des systèmes éducatifs)
  • Enseignement primaire
  • Formation professionnelle (dont accompagnement, mentorat ; formation ; auto-perfectionnement; Teacher competences)
  • Recherche
  • Enseignement secondaire
  • Enseignants (dont méthodes ; innovation; pédagogie ; gestion de classe ; culture des classes ; comportement ; cadres d’apprentissage)
  • Profession d’enseignant (dont recrutement et maintien en poste, qualité ; formation initiale et continue ; certification; primes et rémunérations ; nouveaux enseignants)
  • Technologies (dont infrastructure ; logiciel, matériel; appareils ; ressources numériques)
  • Tendance »



Le centre d’apprentissage interculturel du Canada

CaptureAllez au delà des choses à faire et à ne pas faire avec les Aperçus-pays.

http://www.intercultures.ca/cil-cai/countryinsights-apercuspays-fra.asp

 

 

Exemple d’informations proposées par le site pour la Roumanie :

Info-pays

Une compilation de liens donnant accès aux meilleurs sites web sur presque tous les pays du monde.

Information culturelle

Des réponses à vos questions d’ordre interculturelles d’un point de vue local et un d’un point de vue canadien.

Question :
Je rencontre quelqu’un pour la première fois et je veux faire bonne impression. Quels seraient de bons sujets de discussion à aborder?

Point de vue local :
Les Roumains ont vécu pendant plus de quarante ans sous un régime qui décourageait les contacts avec les étrangers. Les Roumains approchent les étrangers de manière différente qu’ils le font avec leurs compatriotes. Lors des premières rencontres, les représentants d’autres cultures sont censés assumer leur identité nationale (selon les stéréotypes). Pour fins de situer les attentes sur un continuum, un Canadien est censé avoir une approche moins agressive qu’un Américain, mais plus directe et moins arrogante qu’un Français, par exemple.

Les barrières idéologiques et policières n’existent plus en Roumanie et les gens sont maintenant ouverts aux contacts avec les étrangers. Il n’y a pas de sujets tabous, mais l’étranger se rendra vite compte que ses interlocuteurs sont plus intéressés par les problèmes qui les touchent de près – problèmes personnels, politiques, économiques ou internationaux – que d’aborder d’autres sujets. Le travail et le lieu d’origine sont toujours de bons sujets pour faire connaissance. Le temps est un sujet parmi d’autres.

Les jugements de valeur sont mal vus au départ, cependant, une fois la communication établie, critiquer, juger et étiqueter les gens et les comportements devient la règle du jeu.

L’humour est toujours prisé pour briser la glace et détendre la communication. L’humour roumain est succulent et des fois absurde ou noir. Les gens aiment les jeux de mots et les quiproquos.

Point de vue canadien :
J’ai constaté que les sujets de discussion qui intéressaient le plus les Roumains dont j’ai fait la connaissance étaient le pays d’origine, la famille (p. ex., êtes-vous marié, avez-vous des enfants), les raisons de votre présence en Roumanie et ce que vous pensez de la Roumanie. Sur ce dernier point, les Roumains à qui j’ai parlé étaient fiers de leur pays, de leur culture et de leur histoire et appréciaient une critique honnête, mais positive (par exemple, un commentaire constructif sur leurs monuments, le paysage, les lieux à visiter, la cuisine, etc.). Comme j’ai pu le voir dans les nombreux lieux que j’ai visités, les Roumains sont un peuple généreux et accueillant qui aime ceux qui apprécient la cuisine et « la tuica » (le brandy aux prunes fait localement) qu’ils vous offrent souvent.

Dans mes discussions avec des ressortissants roumains, j’ai appris qu’il existait certains sujets délicats, dont les Roms (aussi appelés Gitans). Mon expérience est que les Roumains et les Roms ont des rapports très difficiles. J’ai souvent vu, alors que j’étais en leur compagnie, des amis et collègues roumains se montrer très agressifs et sur la défensive envers les Roms qui s’approchaient de moi ou d’autres ressortissants étrangers. Dans mes discussions sur les Roms avec des Roumains, j’ai été très vigoureusement invitée à ne pas porter de jugement sur le traitement des Roms, étant donné que le contexte roumain m’était étranger.

Je n’ai pas eu beaucoup de contacts avec les Roms, mais j’ai observé qu’ils constituaient un groupe désavantagé dans la société roumaine, qu’ils étaient fréquemment considérés comme des mendiants et qu’ils étaient souvent maltraités par le reste de la communauté. Le peu de contacts que j’ai eu avec eux m’a permis de constater qu’ils sont aussi accueillants et curieux, mais il y a un irritant dû à leur pauvreté apparente qui était toujours présente. Cet « irritant » se manifeste sous la forme de demandes d’aide financière ou matérielle qui vous mettent mal à l’aise.

Un autre sujet délicat aux yeux des Roumains que j’ai rencontrés est l’ère communiste. À ce que je sache, les jeunes roumains veulent progresser avec certitude dans un système capitaliste et admirent les choses « modernes et occidentales » – quoique parfois, ils soient ambivalents. La génération plus âgée tend à regretter la sécurité d’emploi et la vie que le communisme leur offrait. N’ayant jamais été placée dans des situations où le passé communiste de la Roumanie provoquait une susceptibilité déclarée ou un malaise réel, j’en suis tout de même venue à la conclusion que ce sujet devait être traité d’une manière apolitique et sans porter de jugement, dans les conversations. En d’autres mots, j’ai eu tendance à laisser les Roumains donner le ton à la discussion et à poser ensuite des questions sur le sujet, avec précaution. La raison en est que j’ai été témoin d’un cas où un étranger qui lançait des affirmations et des critiques vigoureuses sur le communisme avait offensé ses interlocuteurs. Même si je n’ai jamais entendu les Roumains critiquer vivement eux-mêmes le communisme, j’ai senti que les critiques étaient acceptables quand elles venaient des gens du pays plutôt que des étrangers.

Mon autre expérience au premier contact et par après est que mes amis et collègues roumains étaient très conscients des écarts entre les salaires des ressortissants étrangers et les leurs. Les salaires semblent être un sujet de discussion ouvert parmi les Roumains. Les gens semblent divulguer librement ce qu’ils gagnent, et on m’a souvent demandé quel était mon salaire. J’ai aussi remarqué, à la suite d’un certain nombre de conversations, que mes collègues et amis roumains regrettaient que leur pays n’ait pas pris la route du capitalisme après la Première et la Deuxième Guerre mondiale et que le pays reçoive une aide et une assistance technique occidentale. Pour cette raison, j’ai conclu qu’il était plus sage de me montrer discrète quant à mon salaire. Pour placer les choses dans leur contexte, mon salaire était douze fois supérieur à celui de mes collègues roumains qui occupaient des postes à peine subalternes au mien, et en parler aurait pu, à juste raison, provoquer chez eux la stupéfaction, l’incrédulité et même le ressentiment.

Cela dit, je rappellerai encore aux lecteurs que je trouve les Roumains très accueillants, décontractés et peu différents de la façon dont se comportent les autres peuples européens ou occidentaux.

Aperçu

Capitale :
Bucarest
Superficie :
237 500 km²
Population :
22 303 552 (estimation 2006)
Langue(s) :
Roumain (langue officielle), hongrois, allemand.
Religion(s) principale(s) :
Orthodoxe orientale – 86,8 p. 100, protestante – 7,5 p. 100, catholique – 4,7 p. 100, autres et non-indiquée – 0,9 p. 100, aucune – 0,1 p. 100.
Composition de la population :
Roumain – 89,5 p. 100, Hongrois – 6,6 p. 100, Roma – 2,5%, Ukrainien 0,3 p. 100, Allemand 0,3 p. 100, Russe – 0,2 p. 100, Turc – 0,2 p 100, autres – 0,4 p. 100.

 




VOX EUROP, des articles d’actualités sur l’Europe traduites dans plusieurs langues

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VoxEurop est un site d’actualité et de débats sur les affaires européennes en dix langues. Il est né de la volonté des journalistes qui réalisaient Presseurop de poursuivre l’expérience après l’arrêt de ce dernier, en décembre 2013.

Editorialement et financièrement indépendant, VoxEurop est géré par une association à but non lucratif, l’Association Presseurop (n° d’identification RNA : W751222885). Il vise à contribuer à la formation d’une opinion publique européenne informée à travers la publication de contenus de qualité, traduits en dix langues.

Pour cela, VoxEurop peut compter sur une équipe de journalistes et de traducteurs professionnels, ainsi que sur les dons des lecteurs et des parties intéressées à la circulation des idées en Europe et à l’émergence d’un espace public européen.

Contact

Pour tous renseignements, contactez contact@voxeurop.eu

Site : http://www.voxeurop.eu/fr

Dossiers thématiques : crise des réfugiés ….

 




Le vrai visage des migrants

migrants

Des récits de vie de réfugiés pour aller au delà des préjugés sur la situation des migrants.

Campagne « le vrai visage des migrants »

Par la Cimade

Autres outils pédagogiques de la cimade

 

 

 

Vidéo de présentation du webdoc :

 

LE VRAI VISAGE DES MIGRANTS – Trailer – La Cimade from La Cimade on Vimeo.




Zellidja

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Une bourse Zellidja, pourquoi ?

La fondation Zellidja attribue des bourses pour permettre à des jeunes d’effectuer seuls un voyage d’étude sur le sujet de leur choix, dans le pays de leur choix.

La bourse Zellidja, d’un montant de 700 à 1 100 euros est destinée à un jeune, fille ou garçon, qui a la motivation profonde de partir à la découverte d’un sujet de son choix. La bourse crédibilise son projet de voyage et de découverte, c’est le premier pas qui lui permet de passer de la simple envie à la réalisation.

Un boursier Zellidja peut obtenir une nouvelle bourse Zellidja pour un second voyage.

Quelles conditions d’attribution ?

Les bourses Zellidja sont attribuées selon des conditions, notamment :

  • Avoir au moins 16 ans et pas plus de 20 ans (il ne faut pas avoir fêté son 20ème anniversaire avant le 1er janvier de l’année précédant le premier voyage)
  • Partir seul(e) pour une durée minimale d’un mois
  • Déposer en ligne un projet de voyage détaillé (de 8 à 10 pages) et accepter de le présenter à un oral de sélection en France

A son retour de voyage, le boursier doit remettre son rapport de voyage Zellidja constitué :

  • d’un rapport d’étude sur le sujet choisi
  • d’un carnet de route
  • d’un carnet de comptes et des justificatifs de dépenses

Le boursier s’engage également à promouvoir les bourses de voyage Zellidja à travers un minimum de trois actions.

Les conditions détaillées sont exposées dans la page « Préparer mon projet » du site.

Esprit Z, es-tu là ?

L’état d’esprit Zellidja est fait d’initiatives, de responsabilité personnelle, de choix de sa propre vie, de décisions aux conséquences assumées. Un voyage Zellidja réalisé dans cet état d’esprit apporte découverte de soi et des autres, autonomie, courage, sens du partage, prise d’initiative, curiosité …

Le boursier, à l’issue du voyage, a appris à se connaître, à prendre confiance en lui et en le monde, et il sait que désormais, avec de la méthode, de l’enthousiasme et de la détermination, ses rêves sont à sa portée.

Partir si jeune ?

Laissons répondre Jean Walter, le fondateur en 1939 des bourses de voyage Zellidja :

« Au-delà de 20 ans, ou un peu plus, les schémas mentaux sont fixés, les principaux choix sont faits. Avant 16 ans, il est trop tôt pour parler d’initiative, de responsabilité, de projet autonome. Vers 16 ans, la plupart sortent d’une période consacrée essentiellement à l’acquisition des connaissances, à la première formation de l’intelligence ».

Partir seul ?

Pour rencontrer les autres : en partant seul, on s’ouvre beaucoup plus aux gens dont on croise le chemin car on est plus réceptif et plus disponible ! C’est étonnant de voir comme les rencontres sont nombreuses, intéressantes et chaleureuses quand on voyage seul. Quand on prend la peine d’aller vers l’autre, le voyage est encore plus fort en émotions !

Partir seul, c’est donc :

  • Être disponible pour de nouvelles rencontres
  • Bien s’immerger dans un pays en laissant un temps de côté ses repères culturels et linguistiques
  • Apprivoiser la solitude : prendre ses propres décisions permet de mieux se connaître
  • Se mettre au défi : partir seul, c’est se dire : « je peux le faire ! » et en tirer une grande fierté

Partir un mois minimum ?

Prendre le temps de cerner la problématique, de comprendre le contexte, d’identifier les bons interlocuteurs et de faire les bonnes rencontres, de se perdre au besoin, c’est ce qui permet de  mener à bien son étude.  De plus les boursiers Zellidja sont unanimes pour reconnaître que c’est à la quatrième semaine de voyage qu’ils commencent à percevoir la « confiance en soi ».

Avoir un sujet d’étude ?

Le sujet d’étude donne un fil conducteur et un sens au voyage. Il est présent tout au long de la préparation, du voyage lui-même et au-delà.

Disposer d’un sujet d’étude permet aussi de laisser une trace historique. Depuis 1939, les études Zellidja ont valeur de témoignage d’époques et de lieux. Les rapports sont archivés à la Bibliothèque nationale de France, certains sont publiés (voir la collection Zellidja).

Le choix du sujet est important et doit tenir à cœur. Même s’il peut évoluer un peu entre la préparation du projet et la rédaction du rapport, il faut bien y réfléchir dès le départ.

L’éveil du caractère

Au final, laissons le soin à Jean-Jacques Walter, petit-fils de Jean Walter, de résumer cet esprit Z si particulier :

« L’esprit des bourses est l’orientation vers le caractère, et non pas l’intelligence ou l’information. Dans ce but, chaque boursier part seul. Il constate qu’il peut réussir seul une entreprise, qu’il peut vaincre seul bien des difficultés qui lui auraient paru insurmontables s’il les avait envisagées avant de partir. Il découvre aussi que lorsqu’il entreprend, beaucoup d’opportunités se présentent, auxquelles il ne s’attendait pas.

Pour de nombreux boursiers Z, le voyage est une expérience fondatrice, qui change ensuite, pendant tout le cours de leur vie, leur manière d’aborder les difficultés, parce qu’ils ont pris conscience qu’ils peuvent agir, entreprendre, sortir des schémas habituels. L’état d’esprit Z est fait d’initiative, de responsabilité personnelle, de choix de sa propre vie, de décisions dont on assume les conséquences. Un voyage Z contribue à développer l’autonomie, et les moyens de l’autonomie sont le courage et la volonté d’entreprendre.

Pour entreprendre, il faut beaucoup de conditions, mais une seule est décisive, décider d’agir.

Zellidja révèle leurs propres qualités à tous les jeunes boursiers : ils sont plus entreprenants, plus remplis de ressources, plus riches de possibilités qu’ils ne le pensaient.

Ils peuvent viser plus haut qu’avant leur voyage, être plus ambitieux pour leur carrière, et plus encore pour leur vie. Cette première entreprise décidée et menée seul fait prendre conscience de ce qui existe en chacun et qui ne se serait peut-être jamais éveillé sans ce voyage. Voilà ce qui caractérise l’esprit Z ».

Plus d’infos sur : http://www.zellidja.com

 




Bookshop de l’Union Européenne

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Le site web d’EU Bookshop propose à la fois une librarie, une bibliothèque et les archives des publications remontant à 1952. Il contient 100 000 titres et 190 000 versions électroniques correspondantes (PDF, livres électroniques, CD ROM, DVD, etc.) dans plus de 50 langues, y compris les 24 langues officielles de l’UE.

Certaines publications sur papier sont payantes. Les versions PDF et les livres électroniques sont gratuits.

La plupart des publications figurant sur EU Bookshop sont rédigées par les institutions européennes: la Commission, le Parlement européen, le Conseil de l’UE, ainsi que les agences et autres organes de l’UE. Certaines publications sont coéditées en partenariat avec des éditeurs et/ou d’autres organisations internationales. D’autres sont rédigées par des personnes dont les travaux sont reconnus par l’institution pour laquelle elles travaillent.

EU Bookshop est géré par l’Office des publications de l’Union européenne à Luxembourg.

Parmi les documents les plus consultés et en lien avec les approches interculturelles :

À la découverte de l'Europe!

À la découverte de l’Europe!

L’Europe est un magnifique continent dont l’histoire est fascinante. De nombreux savants, inventeurs, artistes et compositeurs célèbres dans le monde entier, des acteurs et des animateurs connus ainsi que des sportifs couronnés de succès en sont originaires. Durant des siècles, l’Europe, divisée, a souffert de nombreuses guerres. Mais au cours des soixante dernières années environ, les pays de ce vieux continent se sont enfin associés dans la paix, l’amitié et l’unité, afin de lutter pour une Europe et un monde meilleurs. Cet ouvrage, qui est destiné à des enfants âgés de 9 à 12 ans, raconte cette histoire de façon simple et claire. Il contient une quantité de faits intéressants et de nombreuses illustrations aux couleurs vives, fournit une vue d’ensemble dynamique de l’Europe, et explique brièvement ce qu’est l’Union européenne et la manière dont elle fonctionne

Unie dans la diversité

Unie dans la diversité (PDF)

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Unie dans la diversité

Cette brochure est un outil idéal pour faire découvrir aux enfants toute la diversité de la famille européenne. Les enseignants peuvent l’utiliser pour expliquer la signification de l’euro et de la zone euro et présenter aux enfants le patrimoine culturel, scientifique et naturel des pays qui forment l’Union européenne. Cette brochure accompagne l’affiche «Unie dans la diversité» (disponible ici).

Autres thèmes :

 

 

Beaucoup d’autres ressources sont disponibles en ligne (en téléchargement ou à commander) : http://bookshop.europa.eu/fr/home/




Des formations européennes pour les personnels

Capture Vous voulez vous former aux outils numériques et voir les applications possibles pour des projets avec des jeunes à Rome, échanger sur les manières de monter des projets artistiques à Vienne ou comparer les outils utilisés par des acteurs de la jeunesse européens pour parler d’interculturel à Bucarest ?

RDV sur le site salto Youth.

Pour le financement, plusieurs pistes mais le mieux est d’utiliser des bourses Erasmus personnels que vous demandez lors des demandes KA1 pour vos établissements ou vos consortium quand c’est la cas.

Voici un exemple de formations prise sur le site (une cinquantaine d’offres en général) :

 

  • Training Course 17-24 May 2015 | Zadar, Croatia

    T.A.K.E. – Tools for Active Knowledge on Entrepreneurship

    This training course sets out to encourage youth workers to promote and to engage in non-formal activities on youth creativity and entrepreneurship at the European level.

    Application deadline:

    24 March 2015

    This activity is for participants from

    Bulgaria, Croatia, Hungary, Macedonia, Former Yugoslav Republic of, Romania, Slovenia, Turkey

  • Study Visit 27 April – 2 May 2015 | İstanbul, Turkey

    Short Study Visit – Street Work

    Street Work is about engaging young people where they choose to meet and is about empowering them within their community. The aim of the activity is to bring youth workers working in the field and to introduce them the examples of Street Work in Turkey.

    Application deadline:

    25 March 2015

    This activity is for participants from

    Denmark, Finland, Germany, Poland, Turkey, United Kingdom

  • Training Course 7-11 May 2015 | Tallinn, Estonia

    You(th) can do it! Supporting active participation and learning in Erasmus+ youth projects

    This 5 day training course provides youth workers with the necessary tools to support the active participation and non-formal learning of young people during the implementation of Erasmus+ youth projects.

    Application deadline:

    25 March 2015

    This activity is for participants from

    Erasmus+: Youth in Action Programme countries

  • Training Course 4-8 May 2015 | Chaves, Portugal

    Social Inclusion and Intercultural Learning through Sports

    This TC aims to introduce the practice of sports has a tool to address social issues, promote intercultural learning, social development and inclusions. Also intends share of good practices and promote Erasmus + as a tool to development through sports.

    Application deadline:

    26 March 2015

    This activity is for participants from

    Erasmus+: Youth in Action Programme countries

  • Training Course 15-20 April 2015 | Erzurum, Turkey

    Europe meets in Erzurum for people with fewer opportunities

    ‘ Europe meets in Erzurum for people with fewer opportunities’ is a training course under Erasmus + programme, Training of youth workers. The projects brings together 30 people who work for the disabled people in their local societies.

    Application deadline:

    28 March 2015

    This activity is for participants from

    Bulgaria, Poland, Romania, Turkey

  • Training Course 20-25 April 2015 | Kyiv, Ukraine

    Youthful Europe

    The activity provides youth work practitioners with a space to explore different approaches towards Europe through identity, citizenship and participation, and to develop competences to address the European dimension in young people’s daily life.

    Application deadline:

    29 March 2015

    This activity is for participants from

    Russian Federation, Eastern Partnership countries , Erasmus+: Youth in Action Programme countries

  • Training Course 6-10 May 2015 | Ribaritsa, Bulgaria

    THE INTERCULTURAL AGENDA OF YOUTH MOBILITY

    Goal: Participants gain deeper understandings of the opportunities and challenges that face the mobile young people they work with and develop a course of action to improve their practices.

    Application deadline:

    29 March 2015

    This activity is for participants from

    Erasmus+: Youth in Action Programme countries

  • Training Course 6-13 May 2015 | Skoulikaria, Arta, Greece

    Game of Challenges

    Game of Challenges revolves around 3 basic axes: crisis, community and learning. Through non-formal and informal learning tools, GoC aims to challenge certainties on the 3 topics which are central for the common future of Europe and of Europeans.

    Application deadline:

    29 March 2015

    This activity is for participants from

    Estonia, Greece, Italy, Sweden

  • Seminar / Conference 26-31 May 2015 | Nessebar, Bulgaria

    From Diary to Certificate

    „From Diary to Certificate“ is a seminar aiming to fill the gap between writing down one’s learning during the project, and describing the acquired competences on a Youthpass certificate. A practical support publication will be created as an outcome.

    Les formations du moment : le site salto Youth

 




ErasmusIntern.org, le site pour trouver ou offrir des offres de stage en Europe

CaptureErasmusIntern.org fournit un service qui vise à rassembler les offres de stage et les demandes des étudiants qui cherchent une occasion de formation à l’étranger.


ErasmusIntern.org est un projet de l’Erasmus Student Network (ESN). ESN est une organisation étudiante internationale sans but lucratif . ESN compte plus de 13,000 membres dans toute l’Europe.

ErasmusIntern.org est un site où les entreprises et les autres organisations peuvent publier leurs offres de stage et  les étudiants qui veulent faire un stage à l’étranger peuvent publier leurs profils, rechercher et postuler pour les postes vacants de stages.