Une jeune béninoise s’engage sur le lycée de Château-Gontier

Chaque année depuis cinq ans, l’EPLEFPA du Haut-Anjou, à Château-Gontier (Mayenne) accueille un ou des jeunes volontaires béninois via le service civique international. Durant l’année scolaire 2022-2023, c’est Peace Oualoufay, âgée de 22 ans et titulaire d’une licence Pro en développement communautaire, qui effectue sa mission en Mayenne.

Ces accueils se situent dans le cadre du partenariat tripartite historique qu’entretiennent, du côté du Bénin, CREDI-ONG, organisation ayant pour missions la promotion de l’aquaculture intégrée et de l’agriculture paysanne, et la protection de l’environnement, et du côté français l’établissement d’enseignement agricole et le refuge de l’Arche, centre de sauvegarde qui recueille les animaux en détresse de la faune sauvage locale, afin de les soigner avant de les relâcher.

Il s’agit donc d’une organisation originale, dans le cadre laquelle le jeune conduit sa mission au refuge de l’Arche, tout en intervenant au sein du lycée, qui est aussi son lieu de vie durant le déroulement de son projet.




Découvrez le nouveau site du jeu de l’agroécologie AGROCHALLENGES

AGROCHALLENGES est un jeu de cartes composé de 21 cartes problèmes et de 21 cartes solutions. Il permet d’acquérir des connaissances et d’être sensibilisé au concept d’agroécologie, en jouant seul ou en équipe. Au travers de différents modes de jeux (compétitifs, coopératifs, stratégiques), partagez vos connaissances et confrontez vos idées sous forme de débat, autour des enjeux économiques, environnementaux, sociaux, alimentaires et territoriaux de la transition agroécologique.

Le jeu met en avant une approche large du concept d’agroécologie, intégrant différentes dimensions (agronomiques, environnementales, économiques, sociales…) et échelles (locales et globales).

Il a été conçu comme une étape dans une séquence pédagogique plus longue permettant de travailler sur les représentations des joueurs, d’apporter quelques connaissances et définitions, de découvrir l’approche systémique de l’agroécologie. Il favorise l’implication des joueurs, suscite l’organisation de débats et la curiosité de tous.

Découvre le nouveau site compagnon du jeu avec ces différentes rubriques traduites dans les différentes langues du jeu (Espagnol, anglais, allemand et portugais) : www.agrochallenges.com


Captures d’écran du nouveau site :

 




Prix ALIMENTERRE : le dépôt des candidatures c’est jusqu’au 15 mars !

Conçu en 2012 par le CFSI, en partenariat avec la Direction générale de l’enseignement et de la recherche (DGER) du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire, le Prix ALIMENTERRE offre un outil de mobilisation du public jeune (14-25 ans) en faveur du développement de modèles agricoles et alimentaires vertueux, plus durables et plus solidaires. Ce partenariat permet à la fois de diffuser le prix dans tous les établissements de l’enseignement agricole en France et de donner un écho au sujet et aux lauréats auprès d’un large public.

Depuis 2018, le Prix ALIMENTERRE a évolué. Dans un objectif de capitalisation des initiatives contribuant au droit à l’alimentation, le CFSI en partenariat avec la DGER souhaite récompenser et valoriser les initiatives novatrices et / ou mobilisatrices mises en œuvre par les jeunes dans le cadre de leur parcours scolaire ou non, en prolongement du festival ALIMENTERRE.

Ces actions visent à impulser des changements durables au niveau des jeunes participants, des cibles, de l’établissement, des associations, des partenaires et du territoire. Les projets peuvent prendre différentes formes : réalisation de vidéo, organisation de conférences, accueil ou réalisation d’une exposition, animation dans un établissement, passage de la cantine en bio et équitable, réalisation d’ateliers, création de filières locales et équitables, échanges avec des acteurs internationaux, etc.

Depuis 2020, le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire décerne des open badges à tous les participants de ce concours afin de valoriser leur acquis de compétence. Deux open badges sont disponibles : « Lauréat ALIMENTERRE » et « Citoyen ALIMENTERRE« .

Tentez votre chance pour devenir lauréat de l’édition 2023 en mettant en place un projet novateur en faveur du développement de systèmes alimentaires plus durables et plus solidaires  !

>>Afin d’être accompagnés au mieux, nous vous encourageons vivement à consulter notre présentation du prix et à contacter votre coordination territoriale ! <<

Information complémentaire et candidature : https://www.alimenterre.org/valorisez-vos-initiatives-jeunesse-dans-le-cadre-du-prix-alimenterre

 




Franck et Gnan, services civiques ivoiriens au lycée nature

Chaque année depuis cinq ans, l’EPLEFPA Nature de La Roche/Yon accueille un ou deux jeunes volontaires ivoiriens via service civique international.

Ces accueils se situent dans le cadre du partenariat historique qu(‘entretiennent le CFPPA français et son homologue en Côte d’Ivoire, le CAPP de Bingerville. Cette année, ce sont Franck Dovonou et et Gnan Keita qui viennent effectuer leur mission en Vendée.

communauté éducative, et le territoire.

L’accueil de jeunes volontaires en service civique international apparaît donc naturellement comme une possibilité pour parvenir à cet objectif. Car outre la dimension interculturelle, composante éducative évidente de cette démarche, les missions des volontaires revêtent un volet technologique qui conduit les jeunes à explorer et à intégrer dans leur réflexion les préoccupations agricoles propres à leurs structures d’accueil.

Contact : julien.pichon@educagri.fr




Les Sapat du CNEAP Pays de la Loire au Sénégal

Cela fait plusieurs années que les établissements du CNEAP des Pays de la Loire entretient des liens étroits avec l’Afrique de l’Ouest, via ses filières SAPAT. En 2022, c’est au tour du lycée agricole Jean-Baptiste Eriau d’Ancenis de mettre en place un partenariat avec le Sénégal, plus précisément avec plusieurs structures d’accueil de Nianing (pouponnière, école…). C’est dans ce contexte que 6 jeunes ultra-motivées de 1ère bac professionnel sont parties en stage en juin 2022. La DRAAF des Pays de la Loire, au travers de sa stratégie Afrique qu’elle développe dans le cadre du PREA, a eu à coeur de contribuer à la concrétisation de ces projets grâce au dispositif « aide à la mobilité individuelle ».

Contacts : julien.pichon@educagri.fr




L’Algérie, une coopération inédite avec le lycée de Davayé

Les élèves du club solidarité du lycée construisent depuis septembre, un projet d’échanges
culturels et de savoir-faire avec des étudiants algériens. Leurs réflexions portent sur trois
thématiques : l’interculturalité, la transition agroécologique et la place des femmes dans
l’agriculture.


Pour l’élaboration de ce projet, une convention cadre de coopération est en train d’être
signée entre le campus ABC Davayé et l’Université de Ain Temouchent.


Un voyage d’étude en Algérie est programmé en mai afin que les lycéens concrétisent les
actions d’échanges.
Vu l’ampleur du projet, l’attribution de subventions du Ministère des Affaires étrangères et de
la région Bourgogne Franche-Comté est en cours.


Afin de minimiser la participation financières des familles pour ce voyage, les élèves ont
mené plusieurs actions comme la vente de pommes issues du verger conservatoire du lycée
et des greffes de fruitiers de variétés rares.


Un autre point fort de ce projet, est l’accueil sur l’établissement d’une jeune en service
civique, Soria, étudiante en écologie à l’université d’Algérie. Ses principales missions seront
de renforcer la solidarité internationale pour les lycéens, tout en incluant des dimensions
agroécologiques.


Afin d’optimiser la rencontre du mois de mai, des enseignants encadrants du projet, Karine
Boullay et Marcel Eberhart, sont allés visiter les différents partenaires des territoires d’Alger
et d’Oran, comme par exemple l’ITMA (Institut Technique Moyen Agricole) de Ain
Temouchent.


Le projet de coopération est lancé !


Photo: accueil des enseignants français et algériens par le directeur de l’ITMA




DONNER LA PAROLE AUX JEUNES avec le festival ALIMENTERRE

Lire la suite sur : Dossier Festival Alimenterre

Tiré de la lettre #9 INFO EPA 2

 




Offre de formation 2023 du RED – ALIMENTERRE / ECSI / VOLONTAIRES…

Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE /* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name:"Tableau Normal";
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-parent:"";
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:10.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:115%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;

mso-ascii-
mso-ascii-theme-
mso-hansi-
mso-hansi-theme-
mso-fareast-language:EN-US;}

Catalogue de formation 2023 PDF à télécharger ⬇️ avec liens pour s’inscrire aux formations 2023

 

 




Accueillir des volontaires internationaux

Les établissements d’enseignement agricole sont habilités à accueillir des jeunes volontaires européens et internationaux.

Ainsi, plus d’une trentaine d’établissements accueillent désormais des volontaires de Pologne, d’Espagne, du Burkina Faso, du Brésil, du Liban ou encore du Laos. Ce nombre est en constante augmentation. Il s’agit de jeunes de 18 à 30 ans, aux profils variés, qui sont engagés
aux côtés des équipes pédagogiques pour des durées de 6 à 12 mois pour partager leur culture, organiser des ateliers de discussion en langue étrangère, animer la vie des foyers ou encore prendre part à des projets techniques sur les exploitations ou ateliers technologiques.

Ces expériences sont de véritables temps de formation et d’opportunités professionnelles pour ces jeunes étrangers. Les impacts sont également majeurs dans les établissements, pour les équipes et surtout les apprenants qui côtoient ainsi d’autres jeunes venant d’Europe, d’Afrique ou encore d’Asie au foyer, en classe ou avec l’association sportive ou culturelle. Ainsi, ces rencontres contribuent également aux objectifs des projets pédagogiques des établissements (ouverture culturelle, lutte contre le racisme, engagement, éducation à la citoyenneté
et à la solidarité internationale, développement de compétences transversales et linguistiques,…).

Vous retrouverez dans la nouvelle version du guide Accueillir des volontaires internationaux dans les lycées agricoles des informations sur les différents dispositifs que vous pouvez solliciter (Corps Européen de Solidarité, Volontariat franco-allemand OFAJ, Services Civiques de réciprocité hors Europe, volontariat franco-québecois), des conseils pour vous accompagner avant, pendant et en fin de projet, des témoignages de jeunes accueillis et des retours d’expériences des lycées agricoles pionniers.

Ce guide de l’accueil a été conçu par le RED (Réseau Education à la Citoyenneté et à la Solidarité Internationale de l’enseignement agricole) du Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire (Bureau des Relations Européennes et de la Coopération Internationale) en partenariat avec des étudiants de l’université Champollion d’Albi et de Bordeaux-Montaigne, France volontaires et le CNEAP afin de développer et réussir au mieux l’accueil des jeunes volontaires internationaux dans les établissements agricoles français.

Nous espérons que ce guide répondra à vos questions et vous invitera à monter votre projet d’accueil. Sachez enfin qu’il existe un dispositif national d’appui aux établissements et un réseau des volontaires étrangers accueillis en lycée agricole qui appuie les projets et organise des regroupements et formations pour partager les expériences, valoriser les projets et mettre en relation les acteurs. Ce réseau est animé par le RED.

Guide à télécharger : « Accueillir des volontaires internationaux dans les lycées agricoles »

Extraits du Guide :

Plus d’information sur le réseau des volontaires internationaux en lycée agricole :
https://red.educagri.fr/le-reseau-des-volontaires-internationaux/




Les visages de l’ECSI

Cette rencontre avait pour objectif de susciter des échanges sur les politiques et les programmes de sensibilisation et de mobilisation des citoyens en réponse aux défis mondiaux. L’enjeu : partager des pratiques, des outils qui ont fait leurs preuves et présenter des témoignages concrets.

Les actions de l’enseignement agricole ainsi que l’engagement de ses différents acteurs ont été mis en valeur au cours de l’évènement.

Marion Bardy, sous-directrice de la recherche, de l’innovation et des coopérations internationales de la DGER a tout d’abord rappelé l’implication du ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire dans le groupe de concertation national ECSI via le BRECI, les enjeux et les objectifs pour l’enseignement agricole d’intégrer ces thématiques et méthodes pédagogiques dans les projets des établissements. Elle a insisté sur l’existence d’un système national d’appui aux établissements (via le réseau RED notamment depuis presque 25 ans !) pour mener des actions avec les jeunes, partager des outils, organiser des formations tout en travaillant au quotidien avec  de nombreux partenaires associatifs locaux et institutionnels. Sur le terrain ces actions peuvent prendre des formes multiples : accueil de jeunes volontaires étrangers, projets de solidarité, serious games…

Des outils pédagogiques pour éduquer à la transition agroécologique

Fleur Meynier, Chargée de mission Systèmes de culture innovants de la Bergerie Nationale de Rambouillet a pu ensuite présenter l’outil pédagogique non formel AGROCHALLENGES. Ce serious game de l’enseignement agricole (RED/Educagri éditions) utilisé en classe ou dans le cadre de l’accompagnement et la formation des enseignants, est le fruit d’une collaboration avec des nombreux partenaires étrangers, l’INRAE et le designer Quentin Vaulot. Fleur Meynier a insisté lors de sa présentation sur les conditions de réussite du jeu (disponible en 5 langues) et ses objectifs pédagogiques : découvrir l’agroécologie, prendre conscience de son approche systémique, impliquer et rendre actifs les jeunes, encourager la prise de parole et les débats sur les questions socialement vives liées à l’agriculture. Elle a été rejointe par Rachid Benlafquih chargé de mission ECSI et coopération Afrique (BRECI/DGER) qui a suivi de près les différentes étapes du projet. Il a notamment insisté sur la dimension partenariat et coopération internationale de l’outil pédagogique. AGROCHALLENGES est aujourd’hui reconnu pour sa capacité à nourrir et initier des partenariats avec des acteurs de l’éducation, du monde association et professionnel en France et  à l’étranger (Colombie, Canada, Bénin, Sénégal, Côte d’Ivoire, Cameroun, Allemagne, Espagne, Portugal, Brésil, Roumanie, Japon, Nouvelle-Zélande…).

Témoignage de Fleur Meynier suivi de ceux de Nansirine, Melissa (volontaires internationales) et du CFSI sur le festival ALIMENTERRE en vidéo :

Ouvrir les jeunes sur le monde grâce à l’accueil de Volontaires internationaux

« Melissa Camara du Brésil  et  Nansirine Ismaïnou du Bénin (en photo au début de l’article – Photo France Volontaires) ont été volontaires en service civique international pour une mission de promotion de la citoyenneté et de la solidarité internationale au sein de trois lycées agricoles  en Normandie, Occitanie et en Val-de-Loire . Leurs témoignages ont permis de souligner l’aspect multidimensionnel des apports d’un volontariat sur le public qu’elles rencontrent dans le cadre de leurs activités. En ce sens, les deux volontaires intervenantes ont pu citer « l’ouverture sur le monde », « la contribution à la levée des tabous et préjugés », ou encore « l’apport de connaissances socioculturelles ». Par sa mission de service civique, Melissa aspire à contribuer « à la lutte contre la xénophobie » ainsi qu’ « au développement de la solidarité internationale », grâce à « des actions utiles ». Quant à Nansirine, elle a souhaité participer à « la préservation de l’environnement pour un monde durable profitable aux générations à venir ».

Par ailleurs, leurs interventions ont démontré que le volontariat représente un cercle vertueux à bien des égards, leur mission impactant directement la suite de leurs parcours d’étude et professionnel. Selon Nansirine : « Ma mission m’a permis d’augmenter ma confiance en moi, de renforcer ma capacité de responsabilité et d’augmenter mes compétences dans mon domaine d’activité ». Elle est d’ailleurs actuellement de retour en France après son service civique pour poursuivre ses études en Géographie à l’Université Paul Valéry de Montpellier.

Pour Melissa, sa mission lui a permis « d’apprendre la langue française, de prendre de l’autonomie et de la confiance en moi ». Elle compte réinvestir les méthodes d’apprentissage observées dans les lycées agricoles, passant par des expériences théoriques et pratiques, dans sa future carrière de professeure. » *

Pour l’enseignement agricole, ces jeunes volontaires sont aussi considérés comme de futurs jeunes professionnels (notamment dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation). Cette expérience professionnelle et citoyenne unique représente une réelle opportunité pour construire et réaliser son propre projet professionnel. A l’issue de leur volontariat, les jeunes accueillis obtiennent un Open Badge « Volontaire international de l’enseignement agricole » qui reconnait les compétences développées. Les réseaux géographiques de la DGER/BRECI suivent également le parcours des anciens volontaires et les aides pour leur insertion sociale et professionnelle. Découvrez en vidéo le parcours d’ex volontaires béninois aujourd’hui jeunes entrepreneurs en aquaculture ou en machinisme agricole :

Service civique et entreprenariat – Le Bénin / LE FILM from Com Son Image – Julie Lizambard on Vimeo.

Un Club solidarité pour s’engager

Karine Boullay-Bador, enseignante en mathématique au lycée agricole de Mâcon, animatrice du club solidarité de l’établissement a partagé enfin sa riche expérience et ses réflexions lors d’une table ronde sur le thème : « comment accélérer le déploiement de l’ECSI en France et créer des collaborations vertueuses dans les territoires entre les acteurs associatifs et publics ? ». Elle a insisté sur la dimension transversale de l’ECSI, la possibilité de proposer des espaces d’expression et d’engagement des jeunes en dehors des cours et l’importance des partenariats avec les acteurs associatifs du territoire. Pour elle, les principaux leviers sont : l’inscription des actions dans les projets stratégique d’établissement et leur reconnaissance dans les programmes de formation, la pluridisciplinarité, les campagnes nationales et les partenariats avec les acteurs de l’ECSI (RRMA, ONG, collectivités locales…). Après avoir été lauréats du concours national de Podcasts « réinventer le monde », les étudiants du club proposeront cette année des actions autour de l’égalité « femmes – hommes » et reconduiront leur Gratiferia annuelle sur l’établissement pour sensibiliser aux conséquences néfastes de la fast fashion.

Témoignage de Karine Boullay-Bador :

Nous tenons chaleureusement à remercier Fleur, Nansirine, Melissa ainsi que Karine pour leur engagement, leur disponibilité et leurs témoignages.

 

Danuta RZEWUSKI et Vincent ROUSVAL, animateurs du réseau RED (ECSI) de l’enseignement agricole

Rachid BENLAFQUIH, Chargé de mission Afrique / Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale / Expertise Internationale au BRECI-DGER, rachid.benlafquih@agriculture.gouv.fr

* Extrait de l’article de Selma Benamar de France Volontaires sur les témoignages des deux jeunes volontaires invitées à témoignées.