700 films en accès libre sur la diversité culturelle du monde

cibretagne et diversité, c’est :

700 films en accès libre (dont 350 en intégralité), 13 peuples (autochtones, métissés, sans état, en lutte), 10 thématiques, 39 éditions du Festival de Cinéma de Douarnenez et 70 réalisateurs interviewés !
à découvrir, à voir, à lire, à arpenter sans modération !00 filmds

Un projet généreux, pour voir et revoir gratuitement des films emblématiques de la diversité culturelle dans le monde, des documentaires sur les peuples minoritaires, des interviews de réalisateurs engagés et passionnés.
Un outil pédagogique, pour rassembler des ressources, et les re-partager. En accès libre. Bilingue breton. Et sans cesse alimenté, tout au long de l’année, par les salariées de Rhizomes, Caroline et Nina.

Des exemples ?

Une entrée sur le peuple kurde, mais aussi sur le monde des Papous, des Aborigènes, des Rroms, des Amérindiens ou des Berbères.
Avec chaque fois, pour contextualiser les images, une carte, la contribution d’un universitaire sur le sujet et un focus sur le cinéma.
Une recherche par thème, pour naviguer de la musique à la langue, des femmes aux migrations.

Pour travailler l’histoire, la géographie, la littérature, les arts et les langues …
Un site-ressource, un outil pour les étudiants autant que pour leurs professeurs, pour les chercheurs ou les curieux à explorer sans modération !

http://bretagne-et-diversite.net/fr/




Le périple d’une famille syrienne réfugiée en Europe

cp1a92lweaa8jrx« Ce matin, nous vous proposons de suivre le périple d’une famille syrienne qui a fui la Syrie clandestinement pour l’Europe, via la Turquie, en vue d’un « Interception », sur France Inter.

Un voyage de 3.000 kilomètres dangereux et épuisant pour un couple d’ingénieurs de 35 ans et leurs deux enfants originaires de la ville d’Idleb , au nord-ouest de la Syrie.

Un voyage qu’a suivi pendant près douze jours, à partir de fin septembre, notre correspondant au Liban, Omar Ouahmane. De la Syrie à la Suède, en passant par la Grèce, la Macédoine, la Serbie, la Croatie, la Hongrie, l’Autriche et l’Allemagne. Avec la très périlleuse traversée de nuit de la mer Égée. »

 

Plus d’infos sur : http://www.franceculture.fr/emissions/le-choix-de-la-redaction/le-periple-d-une-famille-syrienne-refugiee-en-europe

Les photos et commentaires tout le long du périple :

 




le portail School Education Gateway

image_galleryExtrait du site « L’éducation ne connaît pas de frontières et offre la clé du succès dans tous les groupes sociaux. Les richesses de l’Europe en matière de connaissances et d’expériences sur l’enseignement sont énormes, mais les barrières de langues peuvent compliquer l’accès à l’information et aux ressources pour enseignants et les éducateurs.

Présenté en 23 langues européennes, le portail School Education Gateway est un guichet unique pour les enseignants, les établissements scolaires, les experts et d’autres professionnels du domaine de l’enseignement à l’école. Il présente les politiques éducatives européennes, des actualités, des articles rédigés par des experts, des initiatives nationales, des actions pour les écoles, des domaines d’interaction, des pratiques d’excellence de projets éducatifs et d’autres ressources.
Nous invitons les enseignants et les experts à apporter leur pierre à l’édifice commun en discutant des contenus et en intervenant dans les communautés qui composent le School Education Gateway.

Le School Education Gateway est financé par Erasmus+, le programme européen pour l’Éducation, la Formation, la Jeunesse et les Sports. Il est mis en œuvre pour le Directorat général de l’Éducation et de la Culture de la Commission européenne par European Schoolnet, un partenariat européen de 31 ministères de l’Éducation qui développent l’apprentissage pour les établissements scolaires, les enseignants et les élèves dans toute l’Europe. Le School Education Gateway est lié à eTwinning, la communauté pour établissements scolaires d’Europe.

Comment utiliser le School Education Gateway

Le contenu du site (actualités, bonnes pratiques, articles d’experts, liens vers les politiques, etc.) sont indexés sous différents sujets, ce que vous aide à trouver les contenus correspondant à ce qui vous intéresse. Les sujets comportent aussi des lien vers les priorités pour l’école de la Commission européenne .

  • Évaluation
  • Compétences (dont aptitudes de base; maîtrise de la lecture ; maîtrise du calcul ; compétences numériques)
  • Programmes scolaires (dont réforme, développement; disciplines différentes)
  • Éducation pour la petite enfance
  • Éducation inclusive (dont besoins spéciaux ; aide aux apprenants ; désadvantage; décrochage scolaire ; comportement ; assiduité ; diversité, migrants)
  • Internationalisation
  • Gestion (y compris leadership; administration ; autonomie ; organisation ; financement ; choix des parents ; assurance qualité ; inspection)
  • Politiques et stratégie (dont comparaison des systèmes éducatifs)
  • Enseignement primaire
  • Formation professionnelle (dont accompagnement, mentorat ; formation ; auto-perfectionnement; Teacher competences)
  • Recherche
  • Enseignement secondaire
  • Enseignants (dont méthodes ; innovation; pédagogie ; gestion de classe ; culture des classes ; comportement ; cadres d’apprentissage)
  • Profession d’enseignant (dont recrutement et maintien en poste, qualité ; formation initiale et continue ; certification; primes et rémunérations ; nouveaux enseignants)
  • Technologies (dont infrastructure ; logiciel, matériel; appareils ; ressources numériques)
  • Tendance »



Le centre d’apprentissage interculturel du Canada

CaptureAllez au delà des choses à faire et à ne pas faire avec les Aperçus-pays.

http://www.intercultures.ca/cil-cai/countryinsights-apercuspays-fra.asp

 

 

Exemple d’informations proposées par le site pour la Roumanie :

Info-pays

Une compilation de liens donnant accès aux meilleurs sites web sur presque tous les pays du monde.

Information culturelle

Des réponses à vos questions d’ordre interculturelles d’un point de vue local et un d’un point de vue canadien.

Question :
Je rencontre quelqu’un pour la première fois et je veux faire bonne impression. Quels seraient de bons sujets de discussion à aborder?

Point de vue local :
Les Roumains ont vécu pendant plus de quarante ans sous un régime qui décourageait les contacts avec les étrangers. Les Roumains approchent les étrangers de manière différente qu’ils le font avec leurs compatriotes. Lors des premières rencontres, les représentants d’autres cultures sont censés assumer leur identité nationale (selon les stéréotypes). Pour fins de situer les attentes sur un continuum, un Canadien est censé avoir une approche moins agressive qu’un Américain, mais plus directe et moins arrogante qu’un Français, par exemple.

Les barrières idéologiques et policières n’existent plus en Roumanie et les gens sont maintenant ouverts aux contacts avec les étrangers. Il n’y a pas de sujets tabous, mais l’étranger se rendra vite compte que ses interlocuteurs sont plus intéressés par les problèmes qui les touchent de près – problèmes personnels, politiques, économiques ou internationaux – que d’aborder d’autres sujets. Le travail et le lieu d’origine sont toujours de bons sujets pour faire connaissance. Le temps est un sujet parmi d’autres.

Les jugements de valeur sont mal vus au départ, cependant, une fois la communication établie, critiquer, juger et étiqueter les gens et les comportements devient la règle du jeu.

L’humour est toujours prisé pour briser la glace et détendre la communication. L’humour roumain est succulent et des fois absurde ou noir. Les gens aiment les jeux de mots et les quiproquos.

Point de vue canadien :
J’ai constaté que les sujets de discussion qui intéressaient le plus les Roumains dont j’ai fait la connaissance étaient le pays d’origine, la famille (p. ex., êtes-vous marié, avez-vous des enfants), les raisons de votre présence en Roumanie et ce que vous pensez de la Roumanie. Sur ce dernier point, les Roumains à qui j’ai parlé étaient fiers de leur pays, de leur culture et de leur histoire et appréciaient une critique honnête, mais positive (par exemple, un commentaire constructif sur leurs monuments, le paysage, les lieux à visiter, la cuisine, etc.). Comme j’ai pu le voir dans les nombreux lieux que j’ai visités, les Roumains sont un peuple généreux et accueillant qui aime ceux qui apprécient la cuisine et « la tuica » (le brandy aux prunes fait localement) qu’ils vous offrent souvent.

Dans mes discussions avec des ressortissants roumains, j’ai appris qu’il existait certains sujets délicats, dont les Roms (aussi appelés Gitans). Mon expérience est que les Roumains et les Roms ont des rapports très difficiles. J’ai souvent vu, alors que j’étais en leur compagnie, des amis et collègues roumains se montrer très agressifs et sur la défensive envers les Roms qui s’approchaient de moi ou d’autres ressortissants étrangers. Dans mes discussions sur les Roms avec des Roumains, j’ai été très vigoureusement invitée à ne pas porter de jugement sur le traitement des Roms, étant donné que le contexte roumain m’était étranger.

Je n’ai pas eu beaucoup de contacts avec les Roms, mais j’ai observé qu’ils constituaient un groupe désavantagé dans la société roumaine, qu’ils étaient fréquemment considérés comme des mendiants et qu’ils étaient souvent maltraités par le reste de la communauté. Le peu de contacts que j’ai eu avec eux m’a permis de constater qu’ils sont aussi accueillants et curieux, mais il y a un irritant dû à leur pauvreté apparente qui était toujours présente. Cet « irritant » se manifeste sous la forme de demandes d’aide financière ou matérielle qui vous mettent mal à l’aise.

Un autre sujet délicat aux yeux des Roumains que j’ai rencontrés est l’ère communiste. À ce que je sache, les jeunes roumains veulent progresser avec certitude dans un système capitaliste et admirent les choses « modernes et occidentales » – quoique parfois, ils soient ambivalents. La génération plus âgée tend à regretter la sécurité d’emploi et la vie que le communisme leur offrait. N’ayant jamais été placée dans des situations où le passé communiste de la Roumanie provoquait une susceptibilité déclarée ou un malaise réel, j’en suis tout de même venue à la conclusion que ce sujet devait être traité d’une manière apolitique et sans porter de jugement, dans les conversations. En d’autres mots, j’ai eu tendance à laisser les Roumains donner le ton à la discussion et à poser ensuite des questions sur le sujet, avec précaution. La raison en est que j’ai été témoin d’un cas où un étranger qui lançait des affirmations et des critiques vigoureuses sur le communisme avait offensé ses interlocuteurs. Même si je n’ai jamais entendu les Roumains critiquer vivement eux-mêmes le communisme, j’ai senti que les critiques étaient acceptables quand elles venaient des gens du pays plutôt que des étrangers.

Mon autre expérience au premier contact et par après est que mes amis et collègues roumains étaient très conscients des écarts entre les salaires des ressortissants étrangers et les leurs. Les salaires semblent être un sujet de discussion ouvert parmi les Roumains. Les gens semblent divulguer librement ce qu’ils gagnent, et on m’a souvent demandé quel était mon salaire. J’ai aussi remarqué, à la suite d’un certain nombre de conversations, que mes collègues et amis roumains regrettaient que leur pays n’ait pas pris la route du capitalisme après la Première et la Deuxième Guerre mondiale et que le pays reçoive une aide et une assistance technique occidentale. Pour cette raison, j’ai conclu qu’il était plus sage de me montrer discrète quant à mon salaire. Pour placer les choses dans leur contexte, mon salaire était douze fois supérieur à celui de mes collègues roumains qui occupaient des postes à peine subalternes au mien, et en parler aurait pu, à juste raison, provoquer chez eux la stupéfaction, l’incrédulité et même le ressentiment.

Cela dit, je rappellerai encore aux lecteurs que je trouve les Roumains très accueillants, décontractés et peu différents de la façon dont se comportent les autres peuples européens ou occidentaux.

Aperçu

Capitale :
Bucarest
Superficie :
237 500 km²
Population :
22 303 552 (estimation 2006)
Langue(s) :
Roumain (langue officielle), hongrois, allemand.
Religion(s) principale(s) :
Orthodoxe orientale – 86,8 p. 100, protestante – 7,5 p. 100, catholique – 4,7 p. 100, autres et non-indiquée – 0,9 p. 100, aucune – 0,1 p. 100.
Composition de la population :
Roumain – 89,5 p. 100, Hongrois – 6,6 p. 100, Roma – 2,5%, Ukrainien 0,3 p. 100, Allemand 0,3 p. 100, Russe – 0,2 p. 100, Turc – 0,2 p 100, autres – 0,4 p. 100.

 




VOX EUROP, des articles d’actualités sur l’Europe traduites dans plusieurs langues

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VoxEurop est un site d’actualité et de débats sur les affaires européennes en dix langues. Il est né de la volonté des journalistes qui réalisaient Presseurop de poursuivre l’expérience après l’arrêt de ce dernier, en décembre 2013.

Editorialement et financièrement indépendant, VoxEurop est géré par une association à but non lucratif, l’Association Presseurop (n° d’identification RNA : W751222885). Il vise à contribuer à la formation d’une opinion publique européenne informée à travers la publication de contenus de qualité, traduits en dix langues.

Pour cela, VoxEurop peut compter sur une équipe de journalistes et de traducteurs professionnels, ainsi que sur les dons des lecteurs et des parties intéressées à la circulation des idées en Europe et à l’émergence d’un espace public européen.

Contact

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Site : http://www.voxeurop.eu/fr

Dossiers thématiques : crise des réfugiés ….

 




Etre humain – vivre ensemble

À l’heure où les crispations identitaires se multiplient, prennent des formes diversifiées, de plus en plus radicales voire violentes, les situations où le « vivre ensemble » est mis à mal sont de plus en plus fréquentes. Ce projet, co-conçu par la Fondation Lilian Thuram « Éducation contre le racisme » et l’Association Française des Petits Débrouillards (AFPD) propose de fournir à tous des outils pour éduquer les jeunes sur le vivre ensemble et contre le racisme.

Ce projet traite des questions d’ « être humain » et de « vivre ensemble », en interrogeant les notions de diversité, d’égalité, de stéréotypes, de préjugés, de racisme, d’interculturalité…

Il a pour objectifs :

  • de faire réfléchir et de se questionner sur un ensemble de concepts et de mécanismes susceptibles d’aider à se connaître soi-même, à se comprendre ; à connaître et à comprendre notre unité et notre diversité culturelle et physique.
  • de permettre aux jeunes de mieux construire leur avenir et de lutter contre le fatalisme et le déterminisme social.

Ce projet traite des points suivants :

  • « Qu’est-ce qu’être humain ? ». S’interroger sur ce que l’on a en commun et sur ce qui nous différencie des autres espèces, sur les spécificités (ou non) de l’espèce humaine ainsi que sur les ressemblances et les différences biologiques et culturelles qui existent entre les humains.
  • « Le rôle de l’environnement dans notre construction ». Se rendre compte que les interactions permanentes avec notre environnement (affectif, familial, social, naturel, culturel, éducatif, historique…) influencent notre manière de vivre, notre rapport aux autres, notre vision du monde et participent à la construction de notre personnalité.
  • « Comment vivre ensemble ? ». S’interroger sur les mécanismes d’élaboration et de construction des règles et des valeurs universelles mises en place par les humains pour vivre ensemble (liens sociaux, vie en groupe, interactions des cultures, regard porté sur l’autre…).
  • « Nous pouvons maîtriser notre avenir ». Prendre conscience que nous sommes construits par notre histoire, notre culture et notre environnement nous permet de nous questionner, d’orienter nos choix. Il nous appartient alors de décider de notre personnalité, de nos manières de vivre avec les autres et de fabriquer nous-même notre avenir.
  • « Déconstruire le racisme ». S’interroger sur cette construction sociale tissée par l’Histoire, les cultures et les traditions. On ne naît pas raciste, on le devient : il est lié à notre imaginaire, à notre façon de penser l’autre. La meilleure façon de lutter contre le racisme, c’est l’éducation, qui amène à se questionner, à faire tomber les préjugés.
    Lilian Thuram :« nos sociétés doivent intégrer l’idée pourtant simple que la couleur de la peau, le genre, la religion, la sexualité d’une personne ne détermine en rien son intelligence, la langue qu’elle parle, ses capacités physiques, sa nationalité, ce qu’elle aime ou déteste. Chacun de nous est capable d’apprendre n’importe quoi, le pire comme le meilleur ».

Quelle démarche pédagogique ?

Ce projet est destiné à un jeune public de 8-12 ans. Il privilégie une démarche de découverte et de questionnement pour faciliter l’appropriation des notions de base en les mettant à la portée du public à travers des activités ludiques et adaptées. Il s’efforce de tenir compte du niveau de connaissance, des pré-requis et des représentations de ce public ainsi que des questions qu’il se pose et de ses préoccupations. Il favorise une participation active.

Nous souhaitons amener le public à identifier et à déconstruire ses préjugés en l’accompagnant sur les voies des remises en question par le biais de la démarche scientifique. Les mises en scène et les activités conçues dans le cadre de ce projet aident chaque participant à faire émerger et à faire évoluer ses questionnements, à construire une attitude d’investigation à partir d’observations de faits, d’analyses, de comparaisons, de débats, et à remettre en question certaines de ses représentations, de ses certitudes.

Quels outils pédagogiques ?

L’exposition interactive

L’exposition itinérante permet d’aménager un espace de sensibilisation et de découverte interactif pour les jeunes sur le thème « Être humain/Vivre ensemble ».

Elle propose 12 activités ludiques à réaliser, favorisant le questionnement et des mises en situation où le public est actif.

L’exposition est accompagnée d’éléments de décor aux fonctions pédagogiques : aider à la compréhension des activités, poser certains pré-requis, approfondir certains sujets…

Les activités abordent les thèmes suivants : spécificités de l’être humain ; développement du cerveau humain après la naissance ; dimensions biologiques et culturelles de l’être humain ; critères de diversité et de ressemblance entre les êtres humains ; diversité des couleurs de peau et leurs origines ; racisme ; différences de genre entre les êtres humains ; vivre ensemble : vie en groupe, stéréotypes, mélange des cultures, égalité malgré la différence.

La malle thematique itinérante

La malle thématique « Être humain/Vivre ensemble » est adaptée à la mise en place d’actions dans différents cadres, pour différents publics et constitue un atout pour des actions itinérantes.

Elle contient une série de parcours pédagogiques et de matériel d’animation pour réaliser des travaux d’investigation et accompagner les processus de questionnement. Elle propose :

  • des activités qui permettent de faire émerger les représentations, les questionnements et les préoccupations du public par rapport au thème « Être humain/Vivre ensemble » ;
  • ainsi que des méthodes pour illustrer les principes, les concepts et les approches méthodologiques indispensables à l’appropriation par le public de la thématique et des enjeux qui y sont liés.

Elle propose des parcours pédagogiques sur l’humain (un être biologique ; un être social et culturel) et des études de cas sur le vivre ensemble (stéréotypes, genre, racisme…), et deux types d’offres d’animation : des animations courtes sur un sujet précis, ou des animations plus longues et transversales sur l’ensemble des sujets de la malle.

Un livret pédagogique « etre humain/vivre ensemble »

Ce livret pédagogique, à destination du grand public, traite des différents thèmes abordés dans la malle et dans l’exposition.

Diffusion des outils

L’exposition interactive et la malle thématique peuvent être utilisés ensemble ou de manière autonome, et peuvent s’adapter individuellement à tous les cadres d’animation et à tous les territoires : scolaires, loisirs, événementiels, ateliers ponctuels ou réguliers, mini-stages, centre de vacances, formations.

Elles sont également associées à la campagne Science-tour « Être humain » qui débutera en 2016. Cet outil de mobilisation et de fidélisation des communautés éducatives permet de faciliter et soutenir la naissance et le développement de projets scientifiques et techniques des jeunes sur tout le territoire.

Pour cela, il dispose :

  • d’une flotte de camions d’animation qui circulent sur tout le territoire ;
  • d’une plateforme numérique de soutien et de mise en réseau des jeunes ;
  • d’une malle thématique organisée en parcours pédagogiques, proposant des mises en situation et de recherche favorisant le questionnement ;
  • d’une exposition interactive proposant 12 activités composées de textes simples et illustrés, pour décrypter, expérimenter et comprendre les concepts ;
  • d’espaces de valorisation, de débats, de rencontres avec des chercheurs…

S’appuyer sur le Science-tour pour diffuser l’exposition interactive et la malle thématique permet de démultiplier sur les territoires la sensibilisation du jeune public aux sujets portés par le projet « Être humain/Vivre ensemble »

Partenaires du projet

MGEN, CASDEN, France 98, Fondation du football, Fondation Seligmann, Université d’Artois

Ce projet est suivi par un conseil scientifique qui valide les contenus et nourrit les réflexions, ainsi que par l’Association Paris Lecture qui aide à tester les activités auprès des jeunes.

Informations / Pré-réservations

Les informations concernant les coûts et les différentes possibilités de location seront mises à votre disposition à partir de mi-octobre 2015, au moment où nous ouvrirons les réservations. Si vous souhaitez être contacté à ce moment-là, ou si vous avez besoin d’autres précisions, vous pouvez nous contacter à l’adresse suivante : vivre.ensemble@lespetitsdebrouillards.org




Le vrai visage des migrants

migrants

Des récits de vie de réfugiés pour aller au delà des préjugés sur la situation des migrants.

Campagne « le vrai visage des migrants »

Par la Cimade

Autres outils pédagogiques de la cimade

 

 

 

Vidéo de présentation du webdoc :

 

LE VRAI VISAGE DES MIGRANTS – Trailer – La Cimade from La Cimade on Vimeo.




Eux c’est nous ! de Daniel Pennac et la Cimade

003661196Agissons ensemble pour les réfugiés! Avec ce livre, plus de 40 éditeurs jeunesse souhaitent porter ensemble un message de bienvenue et de solidarité. Daniel Pennac, voix majeure de la littérature, nous invite d’abord à réfléchir et à ouvrir grand notre esprit et notre coeur. Puis Jessie Magana et Carole Saturna, à partir des 8 lettres du mot RÉFUGIÉS, proposent 8 courts textes pour aider les plus jeunes à comprendre. Serge Bloch apporte l’humanité de son trait à ce petit livre solidaire, à partager le plus largement possible!

Réalisé en collaboration avec la cimade




Le sens de la république par Patrick Weil

capture_30Le Livre de Patrick weil permet de mieux comprendre et analyser les liens entre les questions soulevées par les attentats de 2015 et la république. L’auteur revient sur l’histoire mouvementée de la république, ses liens avec les pays colonisés, sa singularité dans un monde où la laïcité n’est pas la règle.

Les différentes clefs de compréhension proposées dans ce livre sur les 4 piliers français de la république (laïcité, souvenir de la révolution, langue commune et égalité) ou encore sur les pistes pour mieux réussir à vivre ensemble et à intégrer tous les français nous aide à mieux nous situer et parler des concepts comme ceux de la république, de la laïcité, de l’immigration.

Pour aller plus loin :

http://www.franceculture.fr/emission-une-fois-pour-toutes-patrick-weil-2015-01-17

 




Guide Éducation au développement rural et à la solidarité internationale

Guide-de-léducateur1Le guide de l’éducateur, fruit d’un travail de deux ans de la part du réseau EADR-SI, est désormais finalisé. Il est destiné à toute personne, novice ou confirmée, intéressée par l’éducation au développement (EAD) et à la solidarité internationale, et souhaitant se lancer dans l’aventure du montage de projet d’EAD.

La rédaction du guide de l’éducateur a commencé en 2013, lors des rencontres nationales du réseau EADR-SI, qui ont lieu deux fois par an. En parallèle, un appel à contributions a été lancé en février 2013, permettant de recueillir les expériences des établissements du CNEAP. L’année 2014 a été consacrée à la finalisation du texte, ainsi qu’à la mise en forme du guide.

Que trouverez-vous dans ce guide ? Plein de choses, à commencer par :

– Une définition (non exhaustive !) de la coopération internationale et de l’éducation au développement, mission de l’enseignement agricole ;

– Les liens entre éducation au développement et référentiels pédagogiques : les formations proposées par l’enseignement agricole contiennent de nombreuses portes d’entrée pour mener des projets d’éducation au développement ;

– Les étapes à franchir dans le montage de projet : définition du type de projet et des objectifs, constitution de l’équipe de pilotage du projet, recherche de financement, communication, évaluation ;

– Des exemples concrets de projets menés par des établissements du CNEAP.

Et bien d’autres choses encore !

Si vous avez des remarques ou commentaires sur cet ouvrage, merci de les envoyer à l’adresse suivante : eadr-si@cneap.fr. Ils nous seront très utiles pour les prochaines éditions du guide.

Bonne lecture !

Télécharger_Guide_EADR-SI_octobre_2015

Plus d’infos sur : http://www.eadrsi-cneap.fr/guide-education-au-developpement-rural-et-a-la-solidarite-internationale/