16ème semaine européenne au lycée fonlabour

Depuis quelques années le Lycée Fonlabour, avec son équipe Coopération internationale et les Jeunes volontaires européen(ne)s accueilli(e)s sur le campus, organisent une semaine européenne avec différentes activités et notamment la participation d’un(e) artist(e) européen(ne) en résidence.

Quel est l’objectif de la semaine européenne?

L’enjeu principal de cet évènement est d’apporter des informations aux élèves et personnels de l’établissement sur l’Europe, d’organiser des échanges, des débats sur une thématique européenne (Les valeurs européennes en question cette année) mais aussi de présenter les opportunités offertes pour vivre une expérience à l’étranger (Stages, volontariats, Corps européens de solidarité, Erasmus +…).

Du 17 au 21 Mai 2021, plusieurs animations ont été mises en place avec les étudiants du lycée et leurs professeurs : un stand mobilité au restaurant scolaire pour donner envie aux étudiants de partir à l’étranger, de nombreuses animations sur l’Europe et le thème des valeurs de l’Union Européenne en classe par Andréa Cardenas (Jeunes Volontaires CES européenne du lycée), des repas à thème (Espagne et Italie cette année) au self avec une exposition sur les droits des européens de la maison de l’Europe Toulouse,  une exposition “peintures d’Europe” constituée d’une quinzaine de tableaux réalisés par les artist(e)s accueilli(e)s en résidence lors des précédentes éditions.

Pour la 16ème semaine, nous avons pu compter sur la participation très appréciée de l’artiste italienne Chiara Scarpone. Elle a fait une résidence de deux jours sur le campus au cours de laquelle elle a pu échanger avec les élèves et personnels autour d’une une oeuvre réalisée sur place intitulée “Europe”. Ce tableau réalisé en cartogravure et représentant de mythe de Europe, restera au lycée. Il a été présenté lors d’un vernissage dans la nouvelle salle d’exposition du campus pour clôturer la semaine.  

Plus d’images et d’informations sur la page Facebook de la semaine européenne sur Fonlabour : https://www.facebook.com/SemaineEuroFonlabour




Pangea, un nouvel ordre social

Pangea est un jeu de rôle, adapté aux groupes d’au moins 24 participants et de 60 personnes maximum. Les participants sont encouragés à s’impliquer activement dans la création d’une nouvelle société.
L’objectif est de prendre conscience de l’importance des valeurs démocratiques et de la façon d’élaborer des politiques.

[*Cet outil est tiré de la Toolbox de Salto Youth, selectionné, mis en forme et traduit en Français par Elia Prieto Araujo, Volontaire Européenne en 2019-2020 au Lycée Agricole Fonlabour.]

Maria Tyutina; @mtyutina




Guide « stage en Europe » – 10 points clefs pour préparer et réussir son projet

Les stages effectués à l’étranger sont l’opportunité de comparer différentes méthodes de travail, d’apprendre une langue étrangère tout en découvrant les coutumes d’un autre pays. Le réseau Euroguidance a rédigé un guide pratique à l’attention des professionnels de l’éducation et de la formation pour apporter repères et conseils méthodologiques pour accompagner les jeunes voulant tenter l’expérience.

Le réseau Euroguidance a rédigé un guide pratique à l’attention des professionnels de l’éducation et de la formation pour apporter repères et conseils méthodologiques pour accompagner les jeunes voulant tenter l’expérience.

Élaboration d’un projet de stage, valorisation de la mobilité, financement, préparation linguistique, préparation logistique, etc. Le guide Euroguidance offre un panorama précis de la définition du stage et de son cadre législatif pays par pays.

Au sommaire :

10 Points clés pour faire un stage en Europe :

  • Élaborer son projet de stage et débuter sa recherche
  • Le choix du pays
  • Trouver un stage
  • Les outils européens de la mobilité
  • Aide à la rédaction du CV et de la lettre de motivation
  • Le financement du stage – les aides possibles
  • Les démarches administratives
  • La préparation linguistique
  • Les questions pratiques
  • Valoriser sa mobilité au retour

En deuxième partie du guide, 31 fiches décrivent pour les 28 États membres de l’union européenne ainsi que pour l’Islande, la Norvège et la Suisse les dénominations et définitions des stages dans chaque pays, les cadres légaux et les formalités administratives nécessaires avant de commencer un stage sur place.
Plusieurs liens vers des sites d’ambassades, agences d’emploi et autres institutions professionnelles et européennes sont proposés pour chacune des fiches.

Lien de téléchargement : https://www.euroguidance-france.org/wp-content/uploads/2017/12/BROCHURE-POUR-SITE-CLIENT2017-4-21.pdf




La revue Sésame, une mine d’informations scientifiques pour construire des ressources pédagogiques sur les enjeux et débats actuels alimentaires et agricoles

Information extraite du site internet de Sésame : « Privilégiant le débat multi-acteurs et la veille analytique, son équipe a progressivement développé une ingénierie d’échanges et d’éclairage des controverses, mobilisant un large réseau de savoirs et d’acteurs : chercheurs, universitaires et formateurs de toutes disciplines, milieux agricoles, représentants associatifs, pouvoirs publics, etc.

La revue Sesame, héritière de l’ancien Courrier de l’Environnement de l’Inra, est le fruit d’une collaboration entre le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation et de l’INRAE.

Son « ADN » ? Ainsi que l’indique clairement Philippe Mauguin, PDG de l’Inrae et directeur de la publication, dans son édito du premier numéro : « Sesame n’est pas un nouveau support de communication et n’ambitionne pas de porter la voix officielle de l’Inrae. Ce positionnement est souhaité et assumé ; il permettra le débat d’idées en confrontant les positions de personnalités de cultures et d’horizons variés ».

Naviguer dans Sesame

Panorama de tendances lourdes, de paradoxes, de décryptages.

Instruction de conflits en cours, de controverses sociotechniques, de disputes.

Croiser le faire. Quand des acteurs sur le terrain se heurtent à des difficultés insoupçonnées qui peuvent révéler de nouveaux modèles ou de nouvelles questions.

À mots (dé)couverts. Pour capter et interpréter les signaux faibles et les impensés.

Pages ouvertes à l’expression des citoyens, des chercheurs, d’opérateurs économiques, associatifs sous forme de contributions, de tribunes libres… Après validation de la rédaction, ces papiers pourront être publiés dans la revue papier ou sur le blog pour les plus longs. »

Exemple d’article valorisable dans une séance pédagogique (Quels sont les problèmes soulevés ? Quelle est la thèse de l’auteur ? Résumez les principaux arguments ? Créer une carte mentales avec les causes et les conséquences du problème évoqué ?…..) : Manger Durable – Nicolas Bricas

Les revues sont disponibles en téléchargement en PDF et n’hésitez pas à vous abonner à la newsletter ou de suivre Sésame sur twitter ou facebook




Elia et Turkan volontaires actives et créatives au lycée agricole d’Albi

Interview réalisée par l’agence nationale du service civique – programme Jeunesse Erasmus +.

Article original : https://www.erasmusplus-jeunesse.fr/blog/746/17/Corps-europeen-de-solidarite-Elia-et-Turkan-volontaires-actives-et-creatives-au-lycee-agricole-d-Albi.html


Bonjour, qui es-tu ?
Que faisais-tu avant ton volontariat ?

Elia: Je suis espagnole et je viens d’Avila, une petite ville a côté de Madrid. J’ai 24 ans et avant le volontariat je finissais ma licence en Infocom et je travaillais dans l’événementiel.

Turkan: J’ai 23 ans et je viens d’Azerbaïdjan, où après avoir fini ma licence de Sciences Politiques, je travaillais pour l’Agence de Jeunesse.

Pourquoi avoir choisi de participer à ce projet européen ?

Elia: J’avais envie de retourner à l’étranger après mon erasmus, et j’ai toujours voulu partager ma culture en tant qu’assistante de langue depuis que j’en ai rencontré beaucoup au lycée et à l’Ecole de langues en Espagne. C’était une expérience très enrichissante, plus dynamique que l’apprentissage avec les profs.

Turkan: J’ai toujours voulu vivre en France et mieux découvrir la culture ici. J’avais déjà participé sur un projet du Corps Européenne de la Solidarité en Turquie, et comme je garde de très belles mémoires de ce projet, ça m’a motivé à me lancer à trouver un projet de longue durée en France en relation avec la jeunesse.

Comment allez-vous en ce temps de crise ?

Elia: On a beaucoup de chance car ici en France, on peut sortir pour faire du sport et en plus le campus est vide et on a la permission pour se promener à l’intérieur dans le parc. Mes amies et ma famille ne peuvent pas sortir, et quelques unes ont plein d’angoisse et c’est difficile de gérer.

Turkan: Je me sens heurese d’être ici, mais le fait d’être loin de mes proches me cause un peu d’inquiétude. Chaque jour j’appelle ma famille pour m’assurer que tout va bien.

Vos missions de volontaire avant le confinement / et pendant cette crise.

Elia: Avant le confinement, je proposais des activités avec les élèves de espagnol; comme des débats, jeux pour découvrir la gastronomie, extraits des séries hispaniques… J’étais en charge d’un pause café deux jours par semaine pour aider collecter de l’argent pour le renouvellement du foyer des étudiants et un lundi sur deux, avec Turkan, on organisait un café de langues. Maintenant je cherche des activités sur la citoyenneté, ciblées pour des lycéens et jeunes, et je les traduis au français. Pour ça j’utilise le site européen Salto Youth et des pages d’édition comme Canva .

Turkan: Je donnais du soutien au profs d’anglais, et j’accompagnais les élèves du BTS qui visent aller à l’étranger. Je les aidais à trouver un stage dans son parcours à l’étranger et faire un suivi de son dossier. Nous sommes allées aussi avec notre tuteur aux conférences par rapport à l’Éducation agricole. Maintenant je continue avec le soutien en ligne et je travaille pour faire une guide d’accueil pour les futurs volontaires.

Une ou deux anecdotes à nous confier.

Elia: J’ai fêté mon anniversaire pendant le confinement. Mais il s’est bien passé car Turkan à cuisiné des plats typiques de son pays, et tous mes amies m’ont appelé pour chanter le Joyeux anniversaire. Nous avons aussi un chat adoptif maintenant. Il dort chez nous, nous lui donnons des croquettes et de sardines, il se laisse caresser… Son propriétaire travaille sur le Lycée et à cause du confinement, il ne peut pas rentrer pour le récupérer, donc nous prenons soin de lui.

Turkan: Achille est trop mignon! Au début il avait peur de nous, mais après lui donner de sardines, il nous a fait confiance. Il me va manquer beaucoup, je lui adore, sauf le jour qu’il nous a amené une souris et puis il l’a mangé.

3 mots sur ton volontariat

Elia: Imprévus, apprentissage, souplesse.
J’ai trouvé plein de défis pendant le volontariat, et il faut s’adapter à chaque situation et trouver des solutions créatives. Par exemple, quand j’ai tenté de faire moi même une coloration au henné, je ne trouvais pas des bonnet de bain, donc finalement j’ai réutilisé le sachet en plastique de la fruit comme bonnet de bain.

Turkan: C’est difficile choisir trois mots uniquement.
L’aventure car je me ressent étonnée et parfois épuisée par le choc culturel. La compréhension par ce qué j’ai acquis de nouveaux points de vue et j’ai repensé mes valeurs et idées. J’ai vécu plein d’expériences, par exemple ici j’ai fait du vélo par le première fois dans ma vie, j’avais tellement peur! Mais finalement j’ai réussi.

La solidarité pour moi c’est…

Elia: Rendre service à la société pour qu’elle soit mieux et aider les autres avec tes compétences. Il s’agit d’une prise conscience sociale des valeurs, intérêts et problématiques collectives, avec une certaine réciprocité entre les hommes.

Turkan: C’est une partie de la vie, une qualité et une valeur sociale indispensable. C’est partager des intérêts et objectifs, et travailler ensemble pour sa poursuite.

Un conseil pour les jeunes qui veulent se lancer…

Elia: Il faut trouver un projet qui nous encourage à se lancer. Bien choisir le projet, c’est-à-dire, choisir un projet dans lequel on peut se sentir utile, sentir que notre contribution est précieuse, qui nous encourage même s’on à peur de se tromper.

Turkan: Se lancer et profiter chaque moment. En Azerbaïdjan, les opportunités de volontariat et plus à l’international sont très appréciés, parce qu’il s’agit des opportunités pour apprendre une nouvelle langue, découvrir une culture, faire des connaissances intéressants, acquérir des compétences… Sortir de son cocon fait peur mais il ramène toujours des bonnes expériences.

 

Pour accueillir des jeunes volontaires dans votre établissement : Plus d’infos




Vivons l’Europe en zone rurale ! Quand la Sarthe accueille 6 jeunes européens en volontariat en MFR

Article d’Europe directe de la Sarthe : « L’accueil de 6 jeunes européens dans les 6 Maisons familiales rurales (MFR) de la Sarthe existe depuis 2017. Après presque 10 mois de volontariat dans les établissements scolaires, nous sommes allés en visite sur les lieux de mission de cette seconde génération de volontaires afin de recueillir leurs témoignages. Cette expérience est aujourd’hui rendue possible grâce à l’Union européenne qui finance entièrement ce dispositif appelé Service volontaire européen (SVE), devenu récemment Corps européen de solidarité (CES). »




Développement et accompagnement de la mobilité grâce à un tiers temps d’animation

Au lycée professionnel agricole de Saint Aubin du Cormier, un travail important engagé sur le climat scolaire, facteur de réussite des apprenants, fait apparaître des besoins : rompre la tendance au repli sur soi et développer autonomie, estime de soi, ouverture d’esprit et confiance chez les jeunes. La mobilité internationale est un outil…

La mobilité à l’étranger offre aux apprenants de tous centres, statuts et filières, l’opportunité de travailler ensemble, en échange avec l’équipe éducative, créant ainsi confiance, solidarité et liens durables et donc une amélioration du climat scolaire.

C’est un apport important pour des jeunes de filières professionnelles qui construisent leurs représentations et se projettent dans des modèles pour leur vie adulte. L’ouverture d’esprit, la curiosité et la prise de conscience assiéront une analyse critique des grands enjeux de ce monde (agriculture, alimentation, énergie, migrations, commerce international…) et un plus grand engagement. Dans une période où la tentation du repli sur soi est grande, la mobilité favorise l’émergence d’un sentiment de citoyenneté européenne et peut jouer un rôle dans la diffusion de valeurs communes. L’enjeu est primordial pour nos élèves de filières professionnelles peu enclins à la mobilité.

Séance de préparation au départ

 

Ce tiers temps porte sur 4 axes principaux visant l’amélioration du climat scolaire :

– Accentuer la mobilité individuelle des apprenants : de 10 départs par an en début du tiers temps maintenant.

– Développer un parcours de préparation en amont de la mobilité et en aval

– S’ouvrir aux échanges avec des partenaires locaux actifs avec d’autres pays et s’insérer dans un réseau local

– Professionnaliser des ambassadeurs de la mobilité

Année 2 :

Les élèves qui avaient des souhaits de départs transmettaient jusque là leurs desiderata au lycée, qui organisait leur mobilité. Cela impliquait beaucoup de travail et une responsabilisation mineure de l’élève et des familles.

Nous avons expérimenté alors de nouvelles modalités, novatrices en bac pro : les élèves devaient s’engager personnellement sur leur projet (dossier de candidature à fournir, rétroplanning à respecter) pour un départ en autonomie sans accompagnateur. Ils sont devenus acteurs d’un parcours de préparation au départ et valorisation du retour, échelonné en plusieurs temps forts sur les 3 années du cursus.

Seconde : 6h de sensibilisation à l’opportunité du voyage à l’étranger : témoignages des élèves partis, présentation du programme Erasmus +, cadre financier, notions sur l’Union européenne, institutions, recherche de structure

Première : 19h d’accompagnement au projet de stage à l’étranger de fin d’année

  • Préparation linguistique : rencontre avec des étudiants Erasmus du pays de destination des élèves
  • Préparation interculturelle : travail sur son regard et les représentations sur soi et sur les autres déconstructions des craintes et valorisation des attentes de cette expérience à l’étranger, Point sur les préjugés / stéréotypes
  • Sensibilisation citoyenne

Ces séances de préparation se déroulaient en négociation avec des collègues qui acceptaient de renoncer à leurs heures de cours.

– Explosion des mobilités individuelles (33 apprenants en autonomie), résultante du plan d’action établi

– Participation d’une délégation DGER en Argentine pour établir des partenariats

Année 3

Ce parcours de préparation a été formalisé dans des EIE en secondes et premières. Un EIE intégration professionnelle était déjà positionné en classe de seconde qui intégrera un module de 8h sur la préparation à la mobilité.

Un nouvel EIE a été créé en première sur la Mobilité internationale reprenant le ruban de préparation au départ.

 

Stage en Écosse

Ce projet a offert aux apprenants de tous centres, statuts et filières, l’opportunité de travailler ensemble, en échange avec l’équipe éducative, créant ainsi confiance, solidarité et liens durables. Ces éléments sont à l’origine d’une amélioration du climat scolaire. C’est pour les apprenants culturellement éloignés de la mobilité l’opportunité de mener un projet d’ampleur, et de développer des qualités personnelles certaines: confiance en soi, adaptabilité, ouverture d’esprit qui impactent sur leur bien-être.

Financièrement, ce projet s’appuie sur le programme Erasmus +. Les lycées publics de Bretagne ont décidé depuis 2015 de créer un consortium ERASMUS pour la formation professionnelle afin d’optimiser leurs moyens et de monter en compétence, c’est le programme BEEP (Bretons en Europe pour une Expérience Professionnelle).

Emilie Canton, enseignante et animatrice bénéficiaire d’un tiers temps pour développer la mission de Coopération Internationale

 




Un projet européen de kit pédagogique pour enseigner les systèmes alimentaires locaux et durables (SALD)

Le projet

Contexte

L’Union européenne (UE) favorise une croissance durable en mettant en œuvre des objectifs environnementaux et sociaux par le biais de la stratégie Europe 2020 et de la politique agricole commune. Les systèmes alimentaires locaux et durables (SALD) apparaissent comme un pilier de cette politique, car ils sont  à la croisée de nombreuses questions : l’agriculture durable, l’atténuation des changements climatiques, la réduction de la pauvreté et la sécurité alimentaire. En effet, l’agriculture durable et les ventes locales réduiront l’empreinte environnementale de la production et du transport alimentaires. Elles auront  des conséquences sur la pauvreté et les liens sociaux en rapprochant les producteurs alimentaires et les consommateurs d’aliments, en encourageant le développement rural et en apportant de la valeur aux agriculteurs.

Les SALD  exigent de nouvelles compétences que les enseignants et les formateurs doivent développer. Les méthodes pédagogiques doivent être basées sur une approche systémique et multidisciplinaire utilisant, entre autres, les techniques, l’observation, la démonstration et les études de cas.

L’enseignement et la formation professionnelle jouent un rôle clé dans la sensibilisation et l’autonomisation des futurs producteurs, consommateurs et acteurs agricoles dans ces domaines.

 

Partenaires du projet

Le projet EduclocalFOOD est un projet de partenariat entre un établissement public national, le CEZ-bergerie nationale (France), l’Université des ressources naturelles et des sciences de la vie de Vienne (Autriche), l’Université de Lisbonne (Portugal), l’Université de Maribor (Slovénie) et l’Observatoire européen du paysage de l’arc latin (Italie).

 

Enjeux liés au projet

-Améliorer les systèmes de formation agricole existants et la qualité de la formation elle-même,

-Augmenter et rendre possible la mise en œuvre de pratiques innovantes,

-Permettre aux différents partenaires de travailler dans un environnement coopératif international.

 

Objectif du projet

Professionnaliser et aider les enseignants et les formateurs travaillant dans l’enseignement agricole afin d’enseigner les systèmes alimentaires locaux et durables.

 

Résultats attendus

Les partenaires développeront et diffuseront des outils éducatifs communs et innovants pour aider les enseignants et les formateurs de toute l’Europe à transmettre les connaissances et les compétences de SALD.

 

3 rapports :

-Un diagnostic et une analyse comparative sur les SALD

-Un diagnostic dans chaque pays partenaire et une analyse comparative des pratiques pédagogiques innovantes

-Un diagnostic des besoins des outils pédagogiques pour l’enseignement des SALD

Kit pédagogique, sur la base des résultats des rapports préliminaires

Plus d’informations et ressources sur : https://www.educlocalfood.eu/fr/pages/vie-associative.html




Trouvez le lien !

Le but du jeu est de favoriser la pensée critique sur la grande variété des relations entre les hommes existant dans le monde. Le jeu peut s’organiser de manière individuel ou en formant des groupes parmi les participants.

Mihis Alex (@mcraftpix sur Pexels)

 

[*Cet outil est tiré de la Toolbox de Salto Youth, mis en forme et traduit en Français par Elia Prieto Araujo, Volontaire Européenne en 2019-2020 au Lycée Agricole Fonlabour.]




« Culture of care, animal welfare »

Ce projet est réalisé par le Lycée Professionnel Privé de Villars les Dombes. Il concerne les 1ère Bac Professionnel Technicien en Expérimentation Animale.

Ils souhaitent mettre en place chaque année un échange avec une nouvelle école partenaire pour créer un réseau européen qui travaillent ensemble autour d’un thème commun : le bien-être animal, pour notamment aboutir à la création d’une plateforme de mutualisation des savoirs, des connaissances et des pratiques par e-learning entre les différents membres du réseau.

Le projet a reçu le premier  du prix Europe de l’enseignement agricole

Voir tous les lauréats du prix Hippocrène 2020.

Félicitations aux jeunes et équipes impliquées