Ensemble différents avec des gommettes

  1. Analyser et prendre conscience des relations entre la majorité et les minorités
  2. Analyser et prendre conscience des processus qui conduisent à la discrimination
  3. Encourager l’empathie par le biais de l’expérience du rejet et de l’exclusion

A l’origine, animation du secours Catholique

Attention à bien choisir qui sera « l’exception » . L’exclusion peut être mal vécue par les participants. Si le groupe se connait, l’inviter à jouer sérieusement.




Agriculteurs.ice.s de demain – Des vidéos pour aller au delà des préjugés sur l’agriculture et l’élevage

Fertiliser le réel ou l’initiation de futurs agriculteurs à la pratique du film documentaire au LEGTA de Pamiers.

«Nous faisons ce film car nous entendons souvent dire que le métier que nous avons choisi est cruel: envoyer des animaux à l’abattoir. Nous pensons au contraire que la relation entre l’éleveur et l’animal est très forte!»Ainsi s’expriment un groupe d’élèves de terminales CGEA (Conduite et gestion dune entreprise agricole) en présentation de leur courtmétrage intitulé «Un éleveur, un animal, une relation.» réalisé dans le cadre d’un projet artistique en Education socioculturelle.

En tout, 4 séquences documentaires ont été produites par les terminalesCGEA du lycée de Pamiers lors d’une semaine artistique menée en mars dernier avec Elsa Deshors, réalisatrice en résidence sur l’établissement. 4 sujets pour débattre, échanger sur les enjeux de leur futur métier: questionner les clichés du milieu agricole, affirmer et reconnaître la place des femmes agricultrices, mettre en avant les évolutions des pratiques agricoles et les potentiels conflits intergénérationnels dans la transmission d’une exploitation familiale.

La consigne était de choisir un sujet lié à leur expérience personnelle et trouvé leur angle d’approche, ce qu’ils avaient envie de montrer, questionner, titiller…

En amont de la semaine, les élèves ont mené une enquête à base d’interviews, de recherche pour éprouver leurs propres représentations et réussir à développer leur point de vue.

En résidence sur le lycée depuis janvier 2021, Elsa Deshors a animé ces ateliers en alternant expérimentation, pratique, projection et réflexion pour parfaire une éducation à l’image et à la communication. Ce projet s’articule autour des notions creusées en Education socioculturelle.Le projet initial prévoyait une diffusion des films en public dans un cinéma du territoire.

Le contexte sanitaire ne le permettant malheureusement pas, la «Télé buissonnière», dont la réalisatrice est membre active, diffuse ces courtsmétrages dans une série documentaire intitulée «Agriculteurs.ice.s de demain»

Cette action est intégrée dans un projet de résidence artistique qui a pu voir le jour grâce aux partenariats de la Région Occitanie et de la DRAC (projet de résidence artistique Occit’avenir).

Contact : SCHOLASCH Aurélie, enseignante d’ESC au lycée agricole de Pamiers


Agriculteurs.ice.s de demain #1 Un éleveur, un animal, une relation

« Nous faisons ce film car nous entendons souvent dire que le métier que nous choisissons est cruel : envoyer des animaux à l’abattoir. Nous pensons qu’au contraire, la relation entre l’éleveur et l’animal est très forte. »

Agriculteur.ice.s de demain #2 Le choc des générations

Les changements de pratiques agricoles sont-ils la source des conflits intergénérationnels, ou bien existe-t-il d’autres raisons ?

Agriculteur.rice.s de demain #3 Nous, futures agricultrices

« En tant que femmes, nous nous sentons concernées et il faut que beaucoup de choses changent et bougent ! » Nous pensons que nous pouvons en faire autant qu’un homme. »

 

Agriculteurs.ice.s de demain #4 L’agriculture sort de ses préjugés

« En tant que futur.e.s agriculteur.rice.s, nous souffrons de préjugés à l’égard de notre métier, cependant, nous sommes conscients que c’est un milieu qui doit, lui aussi, s’ouvrir aux autres et à la différence. »

 




une expérience inoubliable au Togo pour des élèves de Bac Pro des Pays de La Loire

Cela fait de nombreuses années que plusieurs lycées du CNEAP des Pays de la Loire travaillent en réseau sur l’Afrique, dans le cadre de partenariats tissés de longue date avec des structures sanitaires et scolaires de Madagascar. Ces actions donnent lieu chaque année à des mobilités d’élèves de bac professionnel des filières « services aux personnes et au territoire » des établissements concernés, dans le cadre de conventions de stages en entreprises.

 

Forts de cette solide expérience, les lycées de St-Gildas-des-Bois (44), Chemillé (49) et Sablé/Sarthe (72) se sont associés, avec le soutien de la DRAAF, via le dispositif « aide à la mobilité individuelle », afin de faire partir 10 élèves (neuf filles et un garçon) durant un mois, lors de l’automne 2019, à destination du Togo. Ils avaient pour ce faire construit au préalable, grâce à une association ligérienne d’amitié avec ce pays d’Afrique de l’Ouest, un nouveau partenariat avec l’école Eben Ezer d’Aného, à l’est de Lomé. C’est donc au sein de cette structure que les jeunes ont été accueillis afin d’effectuer leur stage professionnel, qui fut pour toutes et tous une expérience inoubliable, comme le montrent les photos transmises à leur retour, où l’on lit aisément le bonheur partagé des élèves et des enfants.

 

Au-delà de ce constat, ce projet a le mérite de mettre en évidence d’importants principes de la coopération internationale dans l’enseignement agricole :

  • la possibilité, pour tous les profils de jeunes, quel que soit leur filière d’enseignement et leur niveau de formation (ici des bac pro. SAPAT), de vivre – et réussir – une expérience de ce type, à partir du moment où le projet est, en amont, parfaitement construit par l’établissement d’enseignement,
  • l’importance sur le territoire des partenariats entre établissements et tissu associatif,
  • l’affirmation de l’ouverture au monde et de la solidarité internationale comme projet pédagogique, et comme vecteur d’acquisition de compétences.

 

Une vigilance à respecter scrupuleusement toutefois : la préparation et la gestion du retour pour les élèves. C’est ce qu’a rappelé avec force Nadège Brenier, directrice du lycée Val de Sarthe, lors de son intervention au cours de l’événement organisé conjointement en janvier dernier, à Angers, par la DRAAF et le réseau mutli-acteurs « Pays de la Loire Coopération internationale » : il s’agit d’une étape primordiale, en particulier dans le cadre de mobilités nord-sud, qui doit être traitée avec méthode afin d’assurer la pérennité de ces projets.




Iris Andissac (1er Prix Moveagri Blog Lycée ) pour son stage au Chili




SOLIDARITE LYCEES du CNEAP OCCITANIE & COLLEGES AGRICOLES de MADAGASCAR

Pour l’année scolaire en cours, le réseau d’Education au Développement Rural et à la Solidarité Internationale (EADRSI) du CNEAP Occitanie a mis en œuvre des actions de sensibilisation et de solidarité au profit de 5 collèges agricoles de Madagascar dans le cadre de la thématique visant à promouvoir une alimentation saine et durable dans nos territoires et à l’étranger.

Voir la présentation du projet cneap-Madagascar en fin d’article

Dix lycées du CNEAP Occitanie se sont mobilisés cette année avec l’appui d’associations partenaires : LAFIBALA, CCFDTS, Artisans du Monde, les Riziculteurs de Camargue et les organismes FERT et FEKAMA.

Cette solidarité s’est déclinée à travers 3 axes :

Le premier volet a consisté à faire mieux connaître Madagascar avec d’une part la réalisation d’une exposition collaborative qui s’enrichit au fil du temps et à laquelle ont participé les lycées agricoles de Capestang, Céret, Masseube, Pézenas et Rieumes. D’autre part l’intégration et l’évaluation de cette thématique dans le cadre des formations (module d’ESC en 1re année CAPa, MG1 et EIE en 1re SAPAT, cours d’Agronomie Ecologie Territoires en 1re Générale, histoire géographie citoyenneté en 4ème et 3ème et 2nd GT) et dans les animations des clubs de solidarité .

Le second volet a concerné des échanges entre des lycées agricoles du réseau (Capestang, Céret, Pézenas, Souilhanels, Masseube) et les 5 collèges de Madagascar avec des correspondances entre jeunes et adultes des deux pays.

Le troisième volet visait un soutien concret au profit des collèges en organisant des événements destinés à collecter des fonds. A côté de ventes de solidarité (marché de noël, magasin école…) ce sont surtout des « bols de riz » qui ont été mis en place. Le syndicat des riziculteurs camarguais a soutenu ce projet en fournissant gracieusement 200kg de riz profitant à 10 lycées du CNEAP situés à Bourg-Madame, Céret, Capestang, Pézenas, Pezens, Rieumes, Masseube, Souilhanels, Marvejols et Verdalle.

La mise en confinement liée à la pandémie Covid19 n’aura permis jusqu’à présent, qu’à 5 établissements de collecter des fonds (déjà plus près de 3000€ ) quatre lycées  ont pu organiser un repas solidaire « bol de riz ». Cela été le cas du Campus La Salle Saint Christophe à Masseube ou une exposition et des animations ont accompagné le bol de riz. Au  LEAP « Les Buissonnets » à Capestang les élèves de 4ème ont organisé une séquence pédagogique autour du « bol de riz »  en faisant participer des commerçants, des parents… Au LEAP « Emilie de Rodat » de Pézens, toutes les classes se sont mobilisées pour décorer le restaurant scolaire aux couleurs de Madagascar. A Touscayrats le bol de riz, servi par des élèves, était accompagné d’un questionnaire élaboré par les éco-délégués

Cette somme sera versée par FERT pour financer des actions comme la formation d’un jeune, la consommation de riz dans un collège pour 1 mois, l’aménagement de terrains de sport dans 2 collèges, l’achat d’une vache laitière pour le ferme pédagogique d’un collège, les frais de visites et voyages d’études d’un collège.

Malgré la période de confinement, nous espérons que le projet va se poursuivre au-delà de l’année scolaire en cours. Des actions à distance sont d’ailleurs mises en place dans des établissements pour faire vivre ce beau projet solidaire dans la situation sanitaire difficile que nous traversons.

Le réseau EADRSI Occitanie a refusé que le virus ne vienne interrompre notre projet de solidarité. Le 23 avril sept établissements se sont mobilisés pour que les élèves, qui devaient participer au rassemblement, consacrent un moment de leur journée à la solidarité et au projet avec Madagascar malgré le confinement.
Les élèves des lycées agricoles privés Beau soleil (Céret), Buissonnets (Capestang), La Rouatière (Souilhanels), Bonne-Terre (Pézenas), Emilie de Rodat (Pézens) et La Salle St Christophe (Masseube), individuellement ou à deux, ont écrit aux jeunes des collèges agricoles de Madagascar créant une belle fresque d’une soixantaine de messages d’amitié que vous trouvez sous forme d’une planche contact en pièce jointe ou sur le blog de la solidarité avec Madagacar ou un aperçu  sur un film youtube

Des jeunes des lycées de  Pézens et du club de solidarité de Pézenas à 15h le jeudi après-midi ont marqué cette fête de solidarité en partageant à distance un flashmob (une vidéo est en cours de montage par les élèves de Pézens pour envoyer à Madagascar).
Toujours dans le cadre de la solidarité et du confinement les lycéens  de Souilhanels et de Saint Joseph (Limoux) ont réfléchi sur l’alimentation à partir de l’animation « Entouka ça va » proposée par Lafibala, tandis que les élèves de Pézenas s’intéressaient au commerce équitable à travers un film proposé par Artisans du Monde. les jeunes du lycée de Ceret, de leur côté, écrivaient une lettre engagée à Anne Panel directrice de Fert pour lui témoigner de leur sympathie à l’égard de Fert et de ses actions de coopération internationale.
Ainsi la solidarité et l’échange se sont maintenus malgré le covid 19.
Bravo à tous nos jeunes solidaires du CNEAP Occitanie et encore merci à nos partenaires.
À Madagascar les équipes pédagogiques, pendant cette période, ont assuré le fonctionnement des 5 collèges, les soins aux animaux et les récoltes et ont travaillé sur les nouveaux référentiels. Les élèves de 3eme année viennent de reprendre dans les collèges. Pour les autres années la rentrée sera plus tard peut être seulement en septembre.
Retrouvez les échanges menés entre les lycées du CNEAP Occitanie et les écoles agricoles de FEKAMA Madagascar et quelques actualités de la solidarité du réseau EADRSI du CNEAP Occitanie sur le blog solidarité Madagascar

Pour plus d’informations, visitez le Blog de la solidarité de l’EADRSI Occitanie avec Madagascar  https://blog.bonne-terre.fr/classes/

Le point du projet de solidarité EADRSI Occitanie avril 2

David BARATGIN & Yves CARMICHAEL,

Correspondants Régionaux, réseau EADRSI Occitanie (avril 2020)

 




Elia et Turkan volontaires actives et créatives au lycée agricole d’Albi

Interview réalisée par l’agence nationale du service civique – programme Jeunesse Erasmus +.

Article original : https://www.erasmusplus-jeunesse.fr/blog/746/17/Corps-europeen-de-solidarite-Elia-et-Turkan-volontaires-actives-et-creatives-au-lycee-agricole-d-Albi.html


Bonjour, qui es-tu ?
Que faisais-tu avant ton volontariat ?

Elia: Je suis espagnole et je viens d’Avila, une petite ville a côté de Madrid. J’ai 24 ans et avant le volontariat je finissais ma licence en Infocom et je travaillais dans l’événementiel.

Turkan: J’ai 23 ans et je viens d’Azerbaïdjan, où après avoir fini ma licence de Sciences Politiques, je travaillais pour l’Agence de Jeunesse.

Pourquoi avoir choisi de participer à ce projet européen ?

Elia: J’avais envie de retourner à l’étranger après mon erasmus, et j’ai toujours voulu partager ma culture en tant qu’assistante de langue depuis que j’en ai rencontré beaucoup au lycée et à l’Ecole de langues en Espagne. C’était une expérience très enrichissante, plus dynamique que l’apprentissage avec les profs.

Turkan: J’ai toujours voulu vivre en France et mieux découvrir la culture ici. J’avais déjà participé sur un projet du Corps Européenne de la Solidarité en Turquie, et comme je garde de très belles mémoires de ce projet, ça m’a motivé à me lancer à trouver un projet de longue durée en France en relation avec la jeunesse.

Comment allez-vous en ce temps de crise ?

Elia: On a beaucoup de chance car ici en France, on peut sortir pour faire du sport et en plus le campus est vide et on a la permission pour se promener à l’intérieur dans le parc. Mes amies et ma famille ne peuvent pas sortir, et quelques unes ont plein d’angoisse et c’est difficile de gérer.

Turkan: Je me sens heurese d’être ici, mais le fait d’être loin de mes proches me cause un peu d’inquiétude. Chaque jour j’appelle ma famille pour m’assurer que tout va bien.

Vos missions de volontaire avant le confinement / et pendant cette crise.

Elia: Avant le confinement, je proposais des activités avec les élèves de espagnol; comme des débats, jeux pour découvrir la gastronomie, extraits des séries hispaniques… J’étais en charge d’un pause café deux jours par semaine pour aider collecter de l’argent pour le renouvellement du foyer des étudiants et un lundi sur deux, avec Turkan, on organisait un café de langues. Maintenant je cherche des activités sur la citoyenneté, ciblées pour des lycéens et jeunes, et je les traduis au français. Pour ça j’utilise le site européen Salto Youth et des pages d’édition comme Canva .

Turkan: Je donnais du soutien au profs d’anglais, et j’accompagnais les élèves du BTS qui visent aller à l’étranger. Je les aidais à trouver un stage dans son parcours à l’étranger et faire un suivi de son dossier. Nous sommes allées aussi avec notre tuteur aux conférences par rapport à l’Éducation agricole. Maintenant je continue avec le soutien en ligne et je travaille pour faire une guide d’accueil pour les futurs volontaires.

Une ou deux anecdotes à nous confier.

Elia: J’ai fêté mon anniversaire pendant le confinement. Mais il s’est bien passé car Turkan à cuisiné des plats typiques de son pays, et tous mes amies m’ont appelé pour chanter le Joyeux anniversaire. Nous avons aussi un chat adoptif maintenant. Il dort chez nous, nous lui donnons des croquettes et de sardines, il se laisse caresser… Son propriétaire travaille sur le Lycée et à cause du confinement, il ne peut pas rentrer pour le récupérer, donc nous prenons soin de lui.

Turkan: Achille est trop mignon! Au début il avait peur de nous, mais après lui donner de sardines, il nous a fait confiance. Il me va manquer beaucoup, je lui adore, sauf le jour qu’il nous a amené une souris et puis il l’a mangé.

3 mots sur ton volontariat

Elia: Imprévus, apprentissage, souplesse.
J’ai trouvé plein de défis pendant le volontariat, et il faut s’adapter à chaque situation et trouver des solutions créatives. Par exemple, quand j’ai tenté de faire moi même une coloration au henné, je ne trouvais pas des bonnet de bain, donc finalement j’ai réutilisé le sachet en plastique de la fruit comme bonnet de bain.

Turkan: C’est difficile choisir trois mots uniquement.
L’aventure car je me ressent étonnée et parfois épuisée par le choc culturel. La compréhension par ce qué j’ai acquis de nouveaux points de vue et j’ai repensé mes valeurs et idées. J’ai vécu plein d’expériences, par exemple ici j’ai fait du vélo par le première fois dans ma vie, j’avais tellement peur! Mais finalement j’ai réussi.

La solidarité pour moi c’est…

Elia: Rendre service à la société pour qu’elle soit mieux et aider les autres avec tes compétences. Il s’agit d’une prise conscience sociale des valeurs, intérêts et problématiques collectives, avec une certaine réciprocité entre les hommes.

Turkan: C’est une partie de la vie, une qualité et une valeur sociale indispensable. C’est partager des intérêts et objectifs, et travailler ensemble pour sa poursuite.

Un conseil pour les jeunes qui veulent se lancer…

Elia: Il faut trouver un projet qui nous encourage à se lancer. Bien choisir le projet, c’est-à-dire, choisir un projet dans lequel on peut se sentir utile, sentir que notre contribution est précieuse, qui nous encourage même s’on à peur de se tromper.

Turkan: Se lancer et profiter chaque moment. En Azerbaïdjan, les opportunités de volontariat et plus à l’international sont très appréciés, parce qu’il s’agit des opportunités pour apprendre une nouvelle langue, découvrir une culture, faire des connaissances intéressants, acquérir des compétences… Sortir de son cocon fait peur mais il ramène toujours des bonnes expériences.

 

Pour accueillir des jeunes volontaires dans votre établissement : Plus d’infos




Mbacké, une jeune sénégalaise en service civique de réciprocité sur l’EPL de Montmorrot

Plus d’informations sur l’accueil des jeunes africains en service civique de réciprocité en 2019/2020 :




Krystell, jeune ivorienne accueillie au lycée agricole de la Roche sur Yon

Plus d’informations sur l’accueil des jeunes africains en service civique de réciprocité et étudiants  en 2019/2020 :




Oumar, jeune ivoirien en service civique de réciprocité au LPA de Velet (71)

Plus d’informations sur l’accueil des jeunes africains en service civique de réciprocité en 2019/2020 :




Accueil des jeunes Ivoiriens Chimène et Ernest en volontariat de réciprocité au lycée agricole de Vire

 

Plus d’informations sur l’accueil des jeunes africains en service civique de réciprocité en 2019/2020 :

Etudiants et Services Civiques africains font leur rentrée dans l’enseignement agricole

Africains en BTSA et en service civique dans des établissements agricoles pendant le confinement